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535 grammes, soit deux fois le poids du précédent. :O
The reader, which was revealed in New York today will ship this summer and is available for pre-order for $489 (£325), compared to the Kindle's price of $359 (£238).

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Pour moi le livre électronique c'est niet.Je supporte pas de lire sur écran. Et de toute façon, il me faut le livre dans les mains. Pouvoir sentir la couverture sous mes doigts, effleurer les pages, renifler l'odeur du neuf, ou du vieux... Comment ça, féitichiste ??? :D
"Il n'existe rien au-dessus du métier de bibliothécaire" Terry Pratchett

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idem, je veux sentir le live dans mes mains, dans ma poche (être toujours obligé de porter un sac a dos pour transporter les 2-3 livres du moment) et pouvoir le renifler à l'achat :DMais j'imagine que c'est la preuve que nous sommes deja dépassé par la technologie et que les generations futures, leurs livres electroniques à la main, nous prendrons pour des vieux chnoks!

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Moi ça ne me dérange pas si je peux le transporter et si la fatigue visuelle associée à un écran est absente.Et pour le moment, les lecteurs de livre électroniques ne sont pas encore super abordables (je parle de ceux qui font la couleur) ni super-fonctionnels.Mais ça va finir par arriver et ce sera pas un mal si ça fait économiser du papier (pensont aux forêts).S.

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Comme pour les disques, je reste moi aussi attaché au support matériel du livre papier. Il me manquerait le plaisir de pouvoir passer du temps devant ma bibliothèque, en me rappelant coment j'ai découvert tel ou tel titre, ce que j'ai ressenti en les lisant.Et puis j'ai moi aussi du mal avec la lecture sur écran prolongée.

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Je vais pas m'amuser à vous citer tous, mais je suis d'accord avec tout ce que vous avez dit.Lire un livre, c'est aussi une expérience tactile et olfactive, l'odeur et la texture des pages, c'est vraiment très important pour moi. Pis lire sur un écran c'est beaucoup trop fatigant pour les yeux.

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Je suis d'accord , je préfère nettement le papier (l'odeur , la texture et tout le bataclan ) .Cependant , je pense qu'il faut laisser sa chance au progrès et même si je n'aime pas lire sur un écran , le lecteur électronique sera non seulement une solution par rapport au poids ( et pas que pour les livres de "loisir" , mais aussi pour les manuels scolaires ) mais aussi une alternative à un partie de la déforestation (même si maintenant , certains éditeurs utilisent du papier recyclé ) Faudrait voir si l'espérance et la mémoire de vie du livre électronique compense les matériaux polluants qu'il contient.Ceci dit , jamais le livre électronique ne pourras totalement prendre la place du livre papier , car, comment le livre électronique pourrait-il protéger les lycéens siesteurs lors de leur sieste sous les arbre de la cour :lol: ? Et pis même si y pouvait , il aurait pas la même odeur ! :rolleyes: Ah et j'oubliai le sentimentalisme qui nous unis à nos livres ( les circonstances de leur acquisition , les livres offerts pas des personnes chères et tout et tout ...) ;) et puis on est attachés a nos petites habitudes et manies ^_^

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Un léger problème.....http://ecrans.fr/Big-Brother-Amazon-la- ... ,7766.html
Big Brother Amazon : la surprise KindleEn supprimant à distance, dans les livres électroniques de ses clients, « 1984 » et « la Ferme des animaux », l’entreprise de Seattle a déclenché l’ire de ses utilisateurs, qui lui reprochent un comportement… « orwellien ».par Frédérique RousselLe hasard a voulu que le couperet tombe sur 1984… Une des dystopies les plus fameuses de la littérature. Couic ! Amazon, en Big Brother contemporain, a supprimé à distance le titre des bibliothèques de ses clients Kindle vendredi. Avec un autre roman de George Orwell, la Ferme des animaux. Question image, ça ne pouvait pas tomber plus mal pour l’entreprise de commerce électronique américaine. Côté symbole, ça ne pouvait pas tomber mieux. Dans 1984, comme le rappelle le New York Times, la censure gouvernementale efface toutes traces d’articles gênants pour le régime en les expédiant dans des fentes murales menant à des fournaises, appelées « trou de mémoire ». Et vendredi, ce sont les deux livres d’Orwell « qui ont été balancés dans le trou de mémoire par Amazon.com », relève le quotidien américain. Dans l’ordre de l’imaginaire, Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, qui érige l’autodafé en pouvoir totalitaire, n’aurait pas dépareillé.Le tour de passe-passe, fait sans prévenir, a naturellement entraîné des hauts cris. Le Kindle, livre électronique vendu par Amazon depuis février 2007 (1), doté d’une connexion sans fil, permet de télécharger des livres sous droits dans la boutique en ligne Kindle d’Amazon.com. Ces fichiers sont protégés par des verrous numériques. Les propriétaires de Kindles, qui avaient payé et téléchargé 1984 avec l’intention de le lire à tête reposée sur leur tablette immaculée se sont évidemment sentis dépossédés quand ils en ont constaté la disparition. Sur des forums, certains racontent leur stupéfaction. Comme Jerry L. Roger : « La chose la plus terrifiante est qu’Amazon a la possibilité d’effacer ma propriété privée - un livre que je pensais avoir acheté, pas une licence - sur un lecteur que je pensais posséder, et pas louer. Il semble que la seule chose que nous pouvons faire pour prévenir de tels comportements orwelliens est d’acheter un livre papier. Au moins, un mandat de perquisition serait requis. » Un étudiant de la région de Detroit a perdu du même coup toutes ses annotations. « Ils ne m’ont pas seulement repris un livre, ils ont volé mon travail », se plaint-il.L’explication fournie par l’entreprise basée à Seattle est juridique. Les éditeurs ont la possibilité de mettre directement en ligne des ouvrages sur la plateforme Kindle. Les romans d’Orwell auraient été ajoutés par un éditeur numérique spécialisé dans les ouvrages du domaine public, MobileReference, qui n’en avait pas les droits. Car si l’œuvre d’Orwell est tombée dans le domaine public dans certains pays comme l’Australie, le Canada ou la Russie, ce ne sera le cas qu’en 2044 aux Etats-Unis. Amazon aurait été prévenu par les ayants droit. « Nous avons supprimé les copies illégales de nos systèmes et des équipements des clients et nous avons remboursé les clients », a expliqué un porte-parole d’Amazon, Drew Herdener, dans un courrier électronique cité par le New York Times. Il a également précisé que les livres ne seront plus effacés de cette manière dorénavant. Amazon promet donc de ne pas recommencer le coup du clic, j’efface sur tous les Kindle… Les romans d’Orwell ne sont pas les seuls à avoir subi la trappe. Amazon aurait ainsi chuinté de ses rayons virtuels des copies piratées d’ouvrages de la série Twilight de Stephenie Meyer ou de Harry Potter de J.K. Rowling.Dans l’histoire, c’est la méthode qui frappe les esprits. Les termes du service agreement du Kindle ne disent pas que l’entreprise a le droit d’effacer des livres qui ont été achetés. En revanche, ils stipulent qu’Amazon accorde aux clients le droit de conserver une « copie permanente du contenu numérique ». L’entreprise de commerce en ligne aurait-elle franchi les bornes de l’illégalité ? « Mais on se pince, tout de même. Car Amazon n’a pas fait autre chose que de s’introduire dans un système qui ne lui appartenait pas pour procéder à l’altération de données », estime Jules, du blog Diner’s Room. Dans une ère où le numérique est censé simplifier la vie, il finit par la compliquer. Un livre numérique acheté aujourd’hui sur un Kindle ne peut être ni prêté ni donné. Summum : il peut même être récupéré…Même si on n’y reprendra plus Amazon, l’anecdote risque de ne pas enthousiasmer les acheteurs potentiels, alors que l’arrivée du Kindle en Grande-Bretagne est prévue pour l’automne. La « société sans papier », que vantait Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, n’est pas pour demain.(1) La version 2 est sortie en février et le Kindle DX, plus grand, pour journaux et documents, est commercialisé depuis mai.

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Je suis pas prête de passer à l'e-book, pour les mêmes raisons citées plein de fois au dessus ^^!Je tiens à ma petite bibliothèque physique, pis ça a pas l'air donné ces lecteurs...A la limite la musique, puisque à la base, c'est du "son", rien de concret, donc que ça devienne un mot de 3 lettres "mp3" sur un écran, ça passe.Rien ne change à l'ouïe.Mais mes bons vieux livres, le papier qui s'en va, tourner les pages, les couvertures pliées et abîmées à force, lire des mots sur un écran, même s'ily a encre électronique ou je ne sais trop quoi... Quelqu'un sait où c'en est le ebook? Ca marche bien?Ya quelques temps, j'en ai eu plein les yeux à la Fnac, tellement ils en faisaient la promo...

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Oroshi a écrit :Rien ne change à l'ouïe.
C'est complétement hors sujet, certes, mais je ne peux pas laisser passer des trucs pareils ! :blink:Les fichiers MP3, c'est de la compression sonore, et il y a pas mal de morceaux ou ça s'entend quand même ! ;)

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Et dire que je me suis retenue pour ne pas répondre, ça me démangeait aussi ;) Pour revenir au sujet :
Un livre numérique acheté aujourd’hui sur un Kindle ne peut être ni prêté ni donné. Summum : il peut même être récupéré…
Voici également un des aspects qui me dérangent. Quand j'aime un livre, j'aime le faire découvrir à ceux que j'aime (et qui savent se tenir avec un livre dans les mains ). Là, le roman se retrouve "coincé" sur le lecteur, on ne peut le transmettre. Si un ami veut le lire, qu'il l'achète ! Ça me rappelle les fichiers musicaux téléchargés légalement que l'on ne pouvait charger qu'un nombre limité de fois sur un lecteur (la question étant alors : mais c'est à moi oui ou non ? Je l'ai bien payé ce titre, pourquoi ne puis je pas en faire ce que je veux)

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Oui, le problème des formats numériques, c'est quand on le "protège"...J'imagine par exemple, j'ai un ebook, je le perds, et je perds toute ma bibliothèque dedans. Donc, je suis obligée de tout racheter?Ne pas pouvoir disposer des fichiers, c'est rageant... Comme tu as dit Aléthia, pareil pour les formules légales des fichiers musicaux qui sont assez restrictives.ps : oui, enfin entre les mp3 à 320 kbps et le cd, moi je fais pas la différence sur ma sono, après j'ai peut-être pas le bon matos, ni l'ouïe aussi fine que cela :).