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J'ai lu. Quel livre ! outch....J'ai essayé de décrypter la critique , lu, relu, un soupçon de 2 eme degré, un message subliminal de dérision: non point. Car rarement, j'ai été aussi éloigné et ressenti un tel décalage .Depuis "harry potter, désolé pour les fans ", jamais j'ai eu une telle déception . Pour moi, la collection "luna " aurait du publié une telle œuvre: aucun dépareillement. Une histoire mièvre avec un pseudo cadre de magie , 4 créatures , 2 qui servent ( enfin pour 6 pages ....dont 3 pour une description d'un v...dommage car sinon il aurait eu sa place pour les enfants 10-11 ans), un chien ( seul intérêt est le fil cousu de blanc , enfin l'écharpe de dévoiler les sentiments...)...Son mérite, il faut le signaler : un one-shoot . Ouf, on respire ...pas 7 livres à lire.L'avantage de ce livre, c'est que pour une analyse et un résumé, il demandera 2 lignes à un enfant de 12 ans pour son intrigue palpitante , la description foisonnante d'un univers inégalé , le bouleversement des sentiments , une intensité cadavérique de l'histoire.Une note :4.Grosse déception car je reconnais qu'il y a un vrai potentiel mais mal exploité.
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Ben, écoute, c'est le moment de ressortir le bon vieux "tous les goûts sont dans la nature". :)Je te rejoins sur l'aspect "potentiel non exploité (à son maximum)". C'est sûr, le roman n'est pas franchement palpitant, et j'ai tout de même consacré une bonne part de la critique à pointer du doigt ce qui clochait selon moi. Mais, je ne sais pas, l'ambiance a fonctionné. Le dernier chapitre, je l'ai lu avec le sourire aux lèvres, et sans doute un soupçon d'amusement, mais ça a pris.led a écrit :J'ai essayé de décrypter la critique , lu, relu, un soupçon de 2 eme degré, un message subliminal de dérision: non point. Car rarement, j'ai été aussi éloigné et ressenti un tel décalage .

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Voilà une fois de plus la preuve qu'il est important que de nombreuses personnes donnent leur avis et souvent et sur plusieurs bouquins. Ca permet de dégager des tendances, de percevoir des sensibilités et des orientations différentes et de se faire une opinion plus fine. Merci à vous deux en tout cas.
Led petite précision : je ne comprends pas très bien 

tu veux dire description très (trop) fouillée : - d'un univers de qualité inégale ?- ou d'un univers tellement qu'il est bien qu'on aimerait pouvoir plonger dedans (inégalé quoi !) ?description foisonnante d'un univers inégalé

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Je ne vois pas pourquoi il en faudrait forcément plus pour entrer dans un véritable univers. :)PS : Je sens que je vais me retrouver à défendre ce roman à l'insu de mon plein gré si ça continue.led a écrit :ce livre comporte très peu de descriptions et l'univers se résume à une maison ,un hameau et une rivière ....

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"Je ne vois pas pourquoi il en faudrait forcément plus pour entrer dans un véritable univers"Tout à fait d 'accord , sauf qu'il faut pouvoir y entrer dans l'univers ....Le problème pour moi, gillossen, c'est que tout sonne faux dans ce roman : les sentiments, l'intérêt du hameau ((la résolution de l'histoire du crime par le "lecteur de vérité" ( j'essaye pas d'être plus précis pour ne pas gâcher des pans entiers de l'histoire
) est à mourir de rire , l'eau de rose avec ...)).En fait, pour donner mon impression finale, ce roman aurait été parfait dans le rayon jeunesse : or, il y a une scène qui annule ( à mes yeux) cette possibilité. Et si on place dans le cadre "roman adulte", depuis harlequin , ça faisait longtemps que j'avais vu de telles ficelles , une telle naïveté ...Mais, je reconnais que ce roman m'a bien fait rire et sourire : et que j'étais impatient de lire les 100 dernières pages pour observer la façon merveilleuse de l'entremêlement des histoires d'amours ...

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T'as mal interprété mes propos concernant les parutions "jeunesse" : je pense tout simplement que ce qui distingue une littérature adulte de parution jeunesse , c'est la mise en forme de certaines scènes , la description de celles-ci , la sauvagerie ou la cruauté de certaines actions , les mots employés .... et de mon point de vue, ça retire en rien la qualité de certaines œuvres "jeunesse".
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Tiens, un deuxième one-shot de la part de l'auteur, dans la même veine apparemment.
;)


“The Laurentine Spy” is set on an alternate Earth-like planet at roughly a late preindustrial stage, corresponding to 18th Century Earth, and is divided into several power blocks, most notably The Corhonese Empire and The Laurentine Protectorate. There is not much backstory on either but we discover that the Empire has several power centers including the Citadel, where a dissolute imperial prince and his powerful Consort lord over a Victorian-style court, though with a little decadent Roman twist. The Protectorate seems a more liberal society, at least for common people and women at least, but is led by a very rigid high caste with elaborate rituals and a habit of throwing out the non-comformists. This is where our heroes come from.The world of the novel contains “remnants” of sorcery, which stem from the still celebrated Burning Day several centuries in the past when “witches”—both male and female—were burned at the stake all over the world. Since then, the “Eye”—as the power of the witches is known—is becoming more and more diluted as witches continue to get burned. But there are those that use witches in secret for their own purposes like the Spycatchers for example.
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J'ai terminé le roman avant-hier. :)Je comprends tout à fait qu'on puisse voir le roman du point de vue de led, parce qu'il faut bien avouer que c'est tout de même très niais, que les personnages, du moins, le héros, souvent souvent à baffer, etc, mais pendant que je lisais - dévorais - le roman, j'étais vraiment à fond dedans.
Difficile du coup de vraiment le recommander ou le déconseiller, mais j'ai vraiment aimé, sans doute avant tout grâce à l'ambiance du roman. 


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Je l'ai fini ce matin et je vais pouvoir expliquer un peu ces deux points de vue.
, avant même d'avoir fini le premier chapitre j'ai trouvé qu'il y avait quelque chose qui clochait : la quasi absence de description et les phrases super courtes. Je ne suis pas une adepte de Proust ou Balzac loin de là, mais au niveau des descriptions c'est vrai que c'est difficile de faire pire que ça. En général les phrases courtes sont là dans une description pour interpeller le lecteur, vraiment le faire sortir de l'ambiance créée par ce cadre descriptif. Mais là on ne pouvait pas en sortir vu que je n'ai pas trouvé cette ambiance, ce qui est je dois le dire assez fâcheux en fantasy.Néanmoins comme Goldberry j'ai pas pu lâcher le livre. On sait ce qui va se passer et tout, le scénario est tout sauf imprévisible et pourtant je voulais le voir écrit. Fleur bleue, moi ? Un peu
De toute façon pour réussir à le lire jusqu'au bout je pense qu'il faut l'être au moins un peu parce que sinon c'est vraiment pas possible de venir à bout du roman. Comme Gillo j'ai souri quand j'ai lu le dernier chapitre du roman mais c'est vrai que mièvre pourrait être un des qualificatifs attribués au roman.Et les personnages, Ah misère !
Je comprends parfaitement ce que tu veux dire. Quand j'ai commencé à lire le livre hier soir, c'est à dire à 22h après Koh Lantaled a écrit :A witch, en fait , de ma part, il s'agit d'une double ironie : ce livre comporte très peu de descriptions et l'univers se résume à une maison ,un hameau et une rivière ....


Effectivement...Et en plus elle fait une pierre deux coups avec les deux autres :rolleyes:Avec tous ces points négatifs c'est incroyable de penser que je n'aie pas lâcher le bouquin, hein ? ;)Je ne me l'explique pas moi même, mais au final c'est une lecture qui permet de se détendre - c'est pas comme si l'histoire était complexe et qu'il y avait beaucoup de personnages, et puis j'aimais bien le chien. C'est vrai qu'on s'attache plus à lui qu'à son maître. Au final je pense que j'aurais mis 6.Gillossen a écrit :Difficile de ne pas deviner comment va se terminer ce roman dès les premières pages parcourues, du moins sur un certain plan…