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Plus que 10 jours pour que tout le monde le commande à Noël pour faire plaisir à Gillossen. 

Ça reste logique, vu le contexte apparemment guerrier de tout le cycle.Goldberry a écrit :Il faut dire que ça évolue continuellement côté technique, cf le tome 4 que je suis en train de lire.Scorpius a écrit :Bon je sais que l'on en est qu'au tome 3 mais sur les couvertures anglaises, vers la 5 ou 6 ème, se trouve quelques chose ressemblant à un tank !:)
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Il n'est pas évident de trouver le bon équilibre.Faire trop soft en étant seulement allusif sur un point assez central de la culture des méchants, mais on resterai un peu sur sa faim, ou en faire trop et risquer de dégouter le lecteur.L'histoire ne se passe quand même pas dans le monde gentil des bisounours, du moins au vu des 3 premiers volumes.Pour l'instant, ça me semble correct sur ce plan.J'étais à la limite plus lassé des descriptions ultra détaillées de l'industrialisation dans les deux premiers tomes que par l'assaisonnement gore que l'on a dans certains passages.Vivement que les tomes suivants soient traduits ...
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J'ai lu les deux premiers et pour le moment je dois dire que ça tient toutes ses promesses ! Le parti pris est intéressant, comme d'autres l'ont déjà souligné, avec ces Tuniques Bleues projetées dans un monde plus qu'étonnant et dont on apprend les ressorts au compte-gouttes. Certes, il y a des éléments d'un classicisme absolu, notamment en ce qui concerne les personnages eux-mêmes (le colonel courageux sympa aimé de tous, le sergent-chef bourru mais sympa, le médecin bourru mais sympa, le jeune idéaliste courageux prêt à se sacrifier, etc etc...), mais on se prend vite au jeu. Pour ma part, j'apprécie particulièrement le détail de la construction d'une nation industrielle. J'avoue que parfois ça paraît presque facile à faire tant tout s'embrique idéalement. Mais l'idée de ne pas se cantonner à la bataille et de faire un enjeu vital de tout ce qui est logistique, approvisionnement, édification d'usines, de mines, de rails, le tout porté par ce sentiment pionnier typiquement américain, j'applaudis des deux mains. La lecture de ces passages peut sembler fastidieuse, mais finalement elles participent de l'originalité de l'oeuvre.Je m'offre le troisième tome dans la foulée 
