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Puis-je en proposer une ? J'espère que cela ne dérangera pas Altan et les autres.En espérant qu'elle ne sera pas trop dure:
A vous !-Pourquoi nous donnons-nous autant de mal pour sauver la ville ? Après tout ce que les Vénitiens ont fait aux lions et au peuple marin ! Ils ont bien mérité que la ville soit envahie et rasée par les Egyptiens. Elle sentit à une curieuse chaleur qui se répandait dans son ventre que ses propos faisaient sourire la Reine.
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Oui, c'est bien dans l'Histoire de Merle. C'est dans le premier tome La Reine des Eaux, avant que Merle et la Reine libère Vermithrax, l'Ancien Traitre. La Reine lui raconte la triste histoire des lions de pierre, victimes de la méchanceté des hommes.D'accord, excusez-moi encore, je laisse la citation à suivre à Altan.
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Eh oui. C'est pas grave du tout Moby, au contraire, ça faisait plus d'un mois :|Alors cette fois-ci j'en mets une tout de suite (pas perdu de temps vu que le livre vient de me servir pour un dossier pour la fac
) !

Indice : je ne crois pas que le livre est critiqué sur Elbakin.net, mais on en parle…d’une autre façon…Lorsque enfin nous plongeâmes dans le labyrinthe de la ville elle-même, escaladant les débris de maçonnerie, et oppressés par l’omniprésence des murs effrités et piquetés et leur hauteur écrasante, nos impressions encore une fois furent telles que je m’étonne du sang-froid que nous réussîmes à garder.

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D'accord.
Le mot en gras, rien à voir avec le livre mais en rapport avec ce pourquoi on en parle. => indice de fumiste, j'en remettrai un très bientôt promisLorsque enfin nous plongeâmes dans le labyrinthe de la ville elle-même, escaladant les débris de maçonnerie, et oppressés par l’omniprésence des murs effrités et piquetés et leur hauteur écrasante, nos impressions encore une fois furent telles que je m’étonne du sang-froid que nous réussîmes à garder.

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Voici donc une citation. Je n'ai aucune idée de sa difficulté vu que je n'en ai jamais proposé avant. 

Pour un homme d'âge certain, le chevalier restait un formidable adversaire. Ce n'était pas vraiment sa force, inférieure à celle d'hommes plus jeunes, ni sa rapidité, car en ce domaine au moins le temps avait fait son oeuvre. Mais sa ruse. Il semblait maîtriser une infinité de parades et de bottes.