Merci pour toutes ces illustrations. Je trouve la peinture de Lee plus affinée, avec des effets de style convaincants (nuages).- La première représente l'arrivée de Huor et de Hurin à Gondolin dans la vallée secrète de Tumladen. Il est bien dit dans le Silmarillon que deux des aigles de Thorondor les y emmenèrent. Cette illustration me rapelle celle de Nasmith :
http://www.tednasmith.com/silmarillion/TN-Tuor_Reaches_the_Hidden_City_of_Gondolin.html#trthcog- La deuxième déjà connue était donc une représentation de Hurin emmené au Haudh-en-Nirnaeth par Morgoth pour qu'il contemple l'asservissement de son peuple (très important puisque c'est là que la malédiction est lancée). Hurin est physiquement bien représenté puisqu'il est "clair de visage et blond de cheveux ".- La troisième montre Beleg quittant Menegroth pour partir à la recherche de Turin. Je trouve l'illustration bonne, le palais de Doriath est en effet caché sous terre et est difficile d'accés (à remarquer la similarité de la porte avec celle de la Moria), le tout au sein d'une forêt dense.
Foradan a écrit :me rappelait pas qu'il y eût un si grand pont juste devant??
"Et Turin emprunta le grand pont qui enjambe l'Esgalduin" (C.&L.I.). Il semblerait que si, même si sur l'image il ne l'est pas tant que ça.- La quatrième nous donne à voir le reforgeage de l'épée maudite Anglachel de Beleg, appelée dès lors Gurthang. Cela se déroule dans les forges elfiennes de Nargothrond, et on voit bien que ce sont des elfes vu leurs corps élancés. Cependant ces derniers sont un peu ternes, tout comme l'illustration entière.- Et puis la dernière est belle, mais je réitère ce que j'avais dit sur un visage de Hurin un peu trop juvénile, trop peu marqué par la douleur et la rage, ainsi qu'un casque pas assez massif.Quant aux premières critiques elles me rassurent dans le fait que le livre ne soit pas aussi narratif que ceux dans les HoME ou le Silmarillon, j'espère juste que les dialogues seront à la hauteur.