Je suis parfaitement d'accord là-dessus. Ca reprend ce que j'ai dit plus haut: l'auteur est libre de faire ce qu'il veut dans son bouquin, ce qui compte, c'est le résultat (à condition qu'il ne tombe pas dans le plagiat.)...Et pour moi, Paolini n'a pas plagié Tolkien, même s'il s'en inspire... Mais c'est une autre questionCITATION Le héros (ou l'héroïne) qui sort apparemment de nulle part, c'est tout bêtement l'archétype du "prince caché"... Alors, condamner Paolini là dessus... boff, quoi... Comme sur le lien "humain-animal". C'est classique, là aussi... Mais justement ce n'est pas cela que l'on reproche directement. L'utilisation de situations classiques n'est pas négatif en soit (cf The Lightstone par exemple ou d'autres). C'est juste que à partir de cette base, l'auteur doit pouvoir prouver qu'il est capable d'ajouter sa patte à la sauce et créer quelque chose d'interessant, d'ambitieux...
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Je ne me situe ni avec les uns, ni avec les autres, car je trouve que vous avez tous raison et tous tort. En fait, je ne crois pas qu'il puisse y avoir un mot de la fin sur Eragon, comme sur tous les livres qui font couler de l'encre à sa façon. Mais encore une fois (je me répète), je pense qu'il faut critiquer un livre pour son texte, et non pour des causes périphériques.
certains pourront dire le contraire... ?