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Je ne crois pas qu'il y ait vraiment une différence entre un blog anglophone et francophone. C'est certains que les chiffres seraient différents. Mais pour le reste, un blog de qualité en Français aurait probablement le même succès que le mien.Des communautées comme celle-ci et d'autres démontrent qu'il y a un public francophone grandissant pour la fantasy.
Patrick
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Même avec plusieurs milliers de visites par jour, Gillo, Joss et les autres ne font "que" des concours ou des interviews aussi... Mais bon, c'est un site, pas "simplement" un blog !
Et les "objectifs" ne sont pas forcément les mêmes (après, je ne suis ça que d'un oeil extérieur).
Les autres auteurs de sa génération ou antérieurs semblent avoir plus de mal à s'y mettre par contre. 
C'est vrai que Gaiman a été un pionnier dans le genre, avec son journal !Je suis persuadé que Gaiman
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La réponse de Pat éclaire bien l'article de PW à mon avis. Surtout en ce qui concerne les auteurs cités dans l'article. J'ai aussi découvert que certains éditeurs mettaient leur bibliothèque online, c'est un grand pas aussi. Sinon pour revenir à la comparaison de Goldberry, je ne comprends pas trop où tu veux en venir. Elbakin (en tant qu'entité) me semble bénéficier d'autant de "prérogatives" que le blog de Pat (concours, interviews, livres en avant première, cinéma....).
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Je pense qu'elle voulait dire que pour selon qu'on fait beaucoup plus de visites que 150-200 par jour - heureusement depuis le temps cela dit !Luigi Brosse,vendredi 05 mai 2006, 00:08 a écrit :Sinon pour revenir à la comparaison de Goldberry, je ne comprends pas trop où tu veux en venir. Elbakin (en tant qu'entité) me semble bénéficier d'autant de "prérogatives" que le blog de Pat (concours, interviews, livres en avant première, cinéma....).
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Gillossen,samedi 29 avril 2006, 11:21 a écrit :J'ai hésité à en faire un nouveau sujet, on verra bien si on le transforme après coup, selon les réactions...![]()
http://www.elbakin.net/fantasy/news/Relati...font-bon-menage
Je ne comprends même pas comment l'éditeur, et un gros en plus, a pu accepter de le laisser faire ça.« Mon premier roman est paru en 2003, et le même jour où Tor le mettait en rayons, je le publiais sous une licence Creative Commons, qui permet un téléchargement complètement gratuit et la redistribution du moment que le texte demeure intact. Il a été téléchargé 650 000 depuis mon site web et également depuis d'autres. Le livre physique en est à son sixième tirage, donc je considère cela comme un succès. »
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Parce que lire un livre sur un écran c'est vraiment pas l'idéal... un prologue passe encore mais plus de 100 pages sur un écran je trouve que ca relève de la gageure. Alors, oui il me semble que c'est un bonne idée de diffuser son roman sur internet (les gens téléchargent, c'est gratuit, ils lisent, ils aiment, ils achètent car ils ont marre de lire sur leur écran...). Ca me parrait un très bon moyen de diffusion.Et ne me dites pas que l'on peu imprimer le livre chez soi. Dans l'absolu, je suis d'accord que c'est faisable, mais ca doit presque revenir aussi cher que d'acheter le livre quand on compte le papier, l'encre et le temps...Hwi Noree,jeudi 11 mai 2006, 13:41 a écrit :Je ne comprends même pas comment l'éditeur, et un gros en plus, a pu accepter de le laisser faire ça.Je veux bien que ça aide à la popularité du roman, mais si c'est exactement le même texte, pourquoi payer ensuite, à part le support ?
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Lire un lvre sur un écran, c'est tout bonnement de la folie furieuse (on peut suivre en feuilleton - une page par jour, mais à part ça...). Et imprimer chez soi coûte beaucoup plus cher.(... bon, d'accord, on m'a déjà rétorqué : "C'est plus facile et plus discret de lire au bureau sur l'écran de l'ordi que de sortir le bouquin de son sac
et on peut toujours utiliser l'imprimante de la boîte quand le chef est absent
)
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Etant donné que le "problème" concerne en partie la licence Creative Commons, il faudrait peut-être un spécialiste de la chose...

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L'appel du pied à peine discretGillossen,lundi 15 mai 2006, 16:12 a écrit :Etant donné que le "problème" concerne en partie la licence Creative Commons, il faudrait peut-être un spécialiste de la chose...;)
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Sans vouloir dire de bêtise, ce serait pas automatique, justement ?Joss,mardi 16 mai 2006, 12:25 a écrit :Alors tant que l'auteur n'a pas signé de clause d'exclusivité avec son éditeur, il a tout a fait le droit de faire ce qu'il veut de son texte, y compris le distribuer gratuitement.
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Non mais ce que je voulais dire, c'est que l'éditeur ne soit pas contre ce genre de "marketing"John Carter,mardi 16 mai 2006, 15:25 a écrit :Sans vouloir dire de bêtise, ce serait pas automatique, justement ?C'est pas pour rien j'imagine que les éditeurs demandent qu'on leur précise si le texte qu'on leur envoie a déjà été publié quelque part avant et/ou en parallèle !
En France en tout cas.
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Il faut garder à l'esprit que les auteurs cités dans l'article du Publishers Weekly représentent des exceptions à la règle. Et celle-ci demeure que très peu (pour ne pas dire aucun) accepteront d'acheter les droits d'un manuscrit disponlible gratuitement de quelque façon que ce soit.C'est la raison pour laquelle cet article fait parler autant de lui. . . Et jusqu'ici, tous les auteurs et éditeurs à qui j'ai parlé m'ont dit que ça ne tenait pas debout. Il est certain que l'internet occupe un place grandissante dans la façon où les auteurs et les maisons d'éditions font les choses. Mais ce n'est pas encore un outil dans lequel ils ont une très grande confiance.Pour ce qui est de mon manuscrit, on m'a dit de ne rien mettre "online," du moins pas plus de 2 ou 3 chapitres tout au plus. Et puisque tout n'est pas encore blanc ou noir à ce sujet, j'ai décidé d'attendre pour bouger ou non. Il serait trop con de perdre ma chance pour une chose aussi ridicule...Le futur saura nous dire qui a raison!
Patrick