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Lu le SP début août, et j'ai bien aimé. Pourtant, en ce moment je fais une overdose de "Young adulte post apo"... Du coup je n'en attendais rien, ou presque. Et bah, pas moyen de le lâcher. Une fois le roman fini, on sait que ce qu'on a lu se base sur une trame déjà vue, mais le style d'écriture et les personnages sont suffisamment prenants pour que la sauce prenne.Du coup je le conseillerai avec grand plaisir à mes clients 

Memento mori
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Et justement, la VF vient de sortir cette semaine !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/un ... endre-4757
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Ben voilà, je l'ai lu.Une chouette lecture, pas prise de tête et agréable. L'histoire ne révolutionne pas le genre, mais j'ai passé un bon moment. Les personnages sont attachants et le ton assez sombre amène un petit plus. Au final les pages se tournent toutes seules et le livre s'est terminé bien trop vite.J'espère qu'il y aura une suite, car cela me laisse tout de même un petit goût d'inachevé
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Et dans la liste des nommés au prix Elbakin.net:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/242 ... innet-2016
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J'ai lu ce livre grâce à sa nomination au prix Elbakin, et j'ai beaucoup aimé. Merci pour la découverte :)Une remarque : La présentation sur la page du site révèle une bonne partie de l'intrigue (tout le premier tiers) et certaines phrases ne correspondent pas du tout à l'histoire du roman (Elias et la résistance ?). La quatrième de couv' française est plus juste. Une braise sous la cendre est une dystopie young adult, plus proche de Divergente que de Hunger Games. On retrouve le système de factions (Érudits, Martials, Marines), la suprématie d'une élite, la dictature, le dépassement de soi pour des idéaux justes. Les thèmes young adult sont présents avec de jeunes héros, la compréhension de leur monde totalitaire et l'envie de liberté. Le roman se déroule dans un monde fantasy avec une exposition de l'univers bien dosée, même s'il manque un peu de profondeur. La magie y apparaît par petites touches subtiles. L'action se passe dans la ville de Blackcliff, l'école militaire Martiale qui forme l'élite guerrière de l'Empereur, les Mask. (Il est d'ailleurs dommage d'avoir gardé certains noms en anglais.)On est dans une ambiance antique avec un empire, des soldats, des tribus. (Je n'ai pas retrouvé l'ambiance romaine que Gillossen décrit dans sa critique, j'imagine plus un monde fantasy antique à la Heroquest/Glorantha)La construction du roman est agréable avec une alternance de point de vue à la première personne entre deux héros : Laia, une jeune érudite qui cherche à faire libérer son frère des prisons martiales et Elias, un Mask en train de finir sa formation et épris de liberté. Tous les opposent et les rapprochent ...Le style est bon. Le rythme du livre est soutenue, sans point mort et l'action ne manque pas. Je ne me suis jamais embêter lors de la lecture. Alors c'est vrai que l'on a déjà vu/lu ce genre d'histoire mais, pour moi, l'essai est transformé, la lecture est rapide, agréable et dépaysante. Avec un univers cohérent (mais encore peu développé) , des personnages solides et une histoire qui tient la route, j'ai accroché. Un excellent premier tome qui ouvre une série prometteuse. Dans le genre young adult : 8,5 / 10
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Vais-je encore vous apporter une bonne nouvelle ? 

Sabaa Tahir has signed a deal with the Penguin Young Readers imprint, Razorbill. She plans to write a third and fourth installment for her An Ember in the Ashes series.Here’s more from the press release: “In books three and four, war looms ever closer, the Scholar revolution burns brighter, and we follow Laia, Elias, and Helene as they battle the dark forces arrayed against them—from the vengeance-obsessed Nightbringer to the increasingly cunning Commandant. Even as they fight for their lives and their people, the three will grapple with the burden of shameful family legacies—and will learn first-hand the perils of falling in love under the shadow of the Martial Empire.”