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:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/la-cite-4109Concernant The City :
La construction ininterrompue de la Cité dure depuis des milliers d’année. Faite d’une multitude de couches successives, la Cité est aussi vaste qu’ancienne. Au fil des siècles, elle s’est étendue au-delà de ses remparts, provoquant ainsi une guerre permanente avec les peuples et royaumes voisins, et répandant la ruine sur des terres autrefois fertiles et luxuriantes.Au cœur de la Cité, se dresse le Palais Rouge, résidence de l’Empereur. Rares sont ceux qui ont vu ce dernier, et ceux qui ont eu ce privilège se souviennent d’un homme jeune, en pleine santé, alors qu’il devrait être très âgé. Certains pensent qu’il n’est plus humain ; d’autres se demandent s’il l’a jamais été. Quelques-uns en ont tiré une terrible conclusion : l’unique moyen d’arrêter le massacre est de mettre un terme à l’existence anormalement longue de l’Empereur.Dans les catacombes pourrissantes qui courent sous la Cité, les pauvres luttent pour survivre. Sur les champs de bataille gorgés de sang dont si peu de héros réchappent, cette poignée de rebelles placent leurs espoirs en un seul homme. Celui qui était autrefois le général favori de l’Empereur.Après avoir été trahi par celui à qui il avait juré fidélité, cet homme a connu bien des noms. Aujourd’hui on l’appelle Bartellus, et il n’est qu’un habitant du dessous. Un homme parmi une myriade d’autres. Lui ne cherchait que l’oubli, mais le destin a deviné qu’il serait capable de provoquer le premier véritable soulèvement qu’ait connu la mégalopole. Capable d’unir la Cité contre l’Empereur.Mais pour celui qui a connu la trahison, l’incarcération et la pire des horreurs, où se termine la justice et où… commence la vengeance ?

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Gillossen a écrit :Bon, pour l'instant, c'est un peu mou quand même, enfin "mécanique" peut-être.
tu te prendrais pas un peu pour l'autorité de la destruction toi non? :sifflote:

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Je suis dedans, et pour le moment j'aime bien !Par contre, je ne suis pas d'accord avec Marsan quand il dis que c'est du Gemmell tout craché avec quelque chose en plus. L'écriture n'est pas formidable tout comme l'écriture de son mari, mais le fait que cela soit très urbain (oui avec un titre comme ça, ça allait pas se passer en pleine forêt...) fait que cela change totalement de ce que faisais David.Bon, je reviendrais donner mon avis quand je l'aurai fini, mais en tous cas j'aime bien !

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Gillossen a écrit :C'est pour ça que j'attends les retours d'Asavar. ;)
Pour le chauffer, je vais lui dire que j'ai fini renégats la semaine dernière et que c'est pas loin d'être une daube!!! ;)

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Aslan a écrit :Il arrive, il arrive. ;)
:sifflote:Au passage je suis content de moi, j'ai réussi à convaincre un de mes proches amis de lire Gemmell. Et lui qui n'est pas fan de Fantasy à la bas, adore ! Il a commencé par le Roi sur le Seuil, et enchaîne avec Légende.