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Le réalisateur américain Irvin Kershner qui a signé notamment le deuxième volet de "Star Wars" ("Episode V - L'Empire contre-attaque, 1980), est décédé samedi à Los Angeles (USA) à 87 ans d'une longue maladie, a indiqué à l'AFP sa filleule, Adriana Santini.Irvin Kershner a également signé un "James Bond" : "Jamais plus jamais" avec Sean Connery, en 1983.Cinéaste et producteur, Irvin Kirshner, né en août 1923 à Philadelphie (Etats-Unis), a réalisé aussi "La Revanche d'un homme nommé Cheval" avec Richard Harris, "Les Yeux de Laura Mars" avec Faye Dunaway et Tommy Lee Jones et "Robocop 2" avec Peter Weller.En 2007, il avait présidé le jury du long métrage du festival Fantastic'Arts de Gérardmer (France).

Dark Schneider a écrit :Mouais, ce monsieur avait 87 ans et n'est connu que pour deux ou trois films qu'il a bien réalisé mais agissait en pur éxecutant, on peut pas dire que ça me touche le moins du monde.

PLUME: It was never George’s intention to direct Empire?KURTZ: No, no. After Star Wars, he didn’t really want to direct the others. I think he was unhappy that I – I’m the one that recommended Kershner, and had worked with him before. I think he was a good choice for Empire, I think he worked really well, but he wasn’t the kind of director… George, I think, had in the back of his mind that the director was a sort of stand-in – that he could phone him up every night and tell him what to do and kind of direct vicariously over the telephone. That never happened. Kershner’s not that kind of director, and even when George showed up a couple of times on the set, he found that it wasn’t easy to maneuver Kershner into doing what he would have done.So, on Jedi, he was determined to find a director who was easy to control, basically, and he did. And that was the result, basically – the film was sort of one that George might have directed if he had directed it himself… but maybe not, because it goes through so many interim bits, that if he had directed it probably would have been quite different.

"Star Wars" et "L'Exorciste" sous les ors de la bibliothèque du Congrès américainChaque année, la Bibliothèque du Congrès intègre dans son fonds 25 nouvelles oeuvres filmiques -- longs métrages, courts métrages, documentaires ou vidéo clips -- jugées dignes de figurer dans le patrimoine américain."Le registre national du film est là pour rappeler à la nation que la préservation de notre création cinématographique doit être une priorité, car la moitié des films produits avant 1950 et quelque 90% de ceux produits avant 1920 ont été perdus", explique dans un communiqué James H. Billington, président de la prestigieuse bibliothèque.Les oeuvres sélectionnées cette année ont été choisies au sein d'une liste de 2.112 films proposés par le grand public, et portent à 550 le nombre de films figurant dans le fonds du registre national du film.Plusieurs films de la cuvée 2010 ont connu un immense succès public, à l'instar de "L'Exorciste" de William Friedkin (1973), "Les hommes du président" d'Alan J. Pakula, avec Robert Redford et Dustin Hoffman (1976), ou "La Fièvre du samedi soir" (1977), qui lança la carrière de John Travolta.Les ombres d'acteurs et de réalisateurs récemment disparus planent sur d'autres films sélectionnés, comme "L'Empire contre-attaque" (1980) d'Irvin Kershner (décédé fin novembre), "Y a-t-il un pilote dans l'avion?" (1980), avec Leslie Nielsen (également décédé en novembre) et "La Panthère rose" (1964) signée du maître de la comédie Blake Edwards, mort à la mi-décembre.Le comité du registre national a également sélectionné des films beaucoup plus anciens, de l'époque du muet ou de monstres sacrés de l'âge d'or hollywoodien (Elia Kazan, John Huston...).Un court documentaire sur le trajet d'un tramway à San Francisco, tourné juste avant le séisme dévastateur de 1906, fait également partie des oeuvres choisies.