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Posté : ven. 22 juil. 2011 17:37
par Guigz
Witch a écrit :en attendant la chaine de librairies Borders ferme ses portes aux US et ça rend triste beaucoup de gens :(
une bien triste nouvelle :(Apparemment la chaîne a coulé à cause de son retard en matière d'offre numérique et de commerce en ligne...

Posté : ven. 22 juil. 2011 18:29
par Perrin
Je sens qu'on va me dire de faire un tour sur Google, mais c'est quoi ces questions de niveau 1 ou 2 ? :) :rouge:

Posté : sam. 23 juil. 2011 12:30
par Fabien Lyraud
Guigz a écrit :
Witch a écrit :en attendant la chaine de librairies Borders ferme ses portes aux US et ça rend triste beaucoup de gens :(
une bien triste nouvelle :(Apparemment la chaîne a coulé à cause de son retard en matière d'offre numérique et de commerce en ligne...
Sûrement pas uniquement. La plupart des grandes chaînes de librairies américaines sont situées dans des malls à la périphérie des villes. Or il semblerait que les américains reconquièrent les centres villes aujourd'hui. Pour ce qui est du livre numérique des enquêtes ont montrés que les plus gros acheteurs d'Ebooks étaient les plus de 50 ans ce qui paraît curieux mais ce qui est confirmé par beaucoup d'observations à travers le monde. Les jeunes sont encore très attaché à l'objet livre.

Posté : jeu. 28 juil. 2011 17:31
par Gillossen

Posté : jeu. 28 juil. 2011 22:52
par Nariel
Pour ce qui est du livre numérique des enquêtes ont montrés que les plus gros acheteurs d'Ebooks étaient les plus de 50 ans ce qui paraît curieux mais ce qui est confirmé par beaucoup d'observations à travers le monde. Les jeunes sont encore très attaché à l'objet livre.
Ca ne m'étonne pas. On a facilement des problèmes de vue au-delà de 50 ans, l'ebook permet le grossissement des caractères ^^Je ferai pareil, amour du livre ou pas, quand ma vue baissera trop :PPour les librairies, je pense qu'elles ont intérêt à vite trouver une solution pour pas couler, sinon, ça sera Fnac, Virgin, Gibert, basta. (nan, basta n'est pas une librairie)Je fréquente pas trop les petites librairies à ma grande honte, mais faut dire, j'en croise pas des masses par chez moi o_o' Du coup, je vais chez Album x) Ils sont sympathiques et bien fournis en SFFF

Posté : mer. 19 oct. 2011 18:31
par Witch
Il se passe des trucs le soir dans certaines librairies :):arrow: http://www.elbakin.net/edition/Inaugura ... -Megastore

Posté : mer. 19 oct. 2011 20:53
par Ramaloce
Plutôt chouette le lustre dragon !Par curiosité et sans indiscrétion, qu'est ce que Mr Graffet t'a dessiné ? :)

Posté : mer. 19 oct. 2011 23:18
par Witch
Un magnifique voilier se reflétant dans une mer d'huile :wub:

Posté : jeu. 20 oct. 2011 15:30
par Gillossen
Comme tu le dis, reste à savoir si on peut parler de librairie. ;)(Oui, je trolle, histoire de relancer le sujet peut-être... :sifflote:)

Posté : jeu. 20 oct. 2011 20:29
par Ramaloce
Witch a écrit :Un magnifique voilier se reflétant dans une mer d'huile :wub:
la classe ! J'adore ces illustrations... pardon sujet hs :rouge:

Posté : mar. 15 nov. 2011 16:35
par Gillossen

Posté : mar. 15 nov. 2011 18:57
par Luigi Brosse
Zut, grillé. Très intéressant comme article (et contenant également plein de liens à lire).

Posté : sam. 26 nov. 2011 17:17
par Aslan

Posté : lun. 21 mai 2012 14:01
par Glaurung
Ca marche pas très fort du côté des librairies :arrow: http://www.elbakin.net/edition/16950-Ou ... librairies

Posté : lun. 21 mai 2012 19:57
par owingketinketink
D'où la candidature à l'Académie française d'un libraire : G. Collard pour le fauteuil du défunt J. Dutour. Moins pour obtenir un des prestigieux sièges que pour attirer l'attention de tous sur les difficultés rencontrées par les libraires. Message genre pas du tout subliminal : la librairie "round the corner" pourrait bien -à force, d'à force, n'être pas éternelle, elle, messieurs les immortels...Quatre fauteuils vacants quand même, deux qui n'ont pas trouvé le popotin idoine. Votes reportés à une date ultérieure.http://bibliobs.nouvelobs.com/actualite ... caise.htmlhttp://www.academie-francaise.fr/actual ... mmaire.asp

Posté : mar. 22 mai 2012 09:19
par Evildeus
Le livre est un bien culturel, souvent considéré comme un luxe. Comme il n’y a pas de concurrence sur les prix à la distribution, c’est le volume qui se réduit en période de crise. De plus, les libraires ne sont pas vraiment encourager à se démarquer entre elles.De toutes les manières, l’existence de tant de librairie (qui offre un service limité) est une conséquence de la loi Lang et un gaspillage économique (après c’est un choix politique) que paie le consommateur.

Posté : mar. 22 mai 2012 13:27
par Fabien Lyraud
De plus, les libraires ne sont pas vraiment encourager à se démarquer entre elles.
Le problème est surtout là. Trop de librairies généralistes et pas assez de librairies spécialisées ( qui sont celles qui résistent le mieux face aux chaîne par une offre plus pointue).
De toutes les manières, l’existence de tant de librairie (qui offre un service limité) est une conséquence de la loi Lang et un gaspillage économique (après c’est un choix politique) que paie le consommateur.
On voit que tu n'as pas connu les librairies avant la loi Lang. Une offre limitée, un espace de présentation inadapté. Ce n'était pas terrible. Et je pense que si certains éditeurs indépendants ou petits éditeurs survivent c'est bien à la loi Lang qu'ils le doivent. Dans les années 80 dans les genre de l'imaginaire, les petits éditeurs quand ils survivaient deux ans, c'était exceptionnel. Le paysage des librairies de l'époque n'était pas adapté à leur diffusion.

Posté : mar. 22 mai 2012 14:02
par Evildeus
Fabien Lyraud a écrit :Le problème est surtout là. Trop de librairies généralistes et pas assez de librairies spécialisées ( qui sont celles qui résistent le mieux face aux chaîne par une offre plus pointue).
Malheureusement, je vois pas cela changer dans le cadre institutionnel actuel.
On voit que tu n'as pas connu les librairies avant la loi Lang. Une offre limitée, un espace de présentation inadapté. Ce n'était pas terrible. Et je pense que si certains éditeurs indépendants ou petits éditeurs survivent c'est bien à la loi Lang qu'ils le doivent. Dans les années 80 dans les genre de l'imaginaire, les petits éditeurs quand ils survivaient deux ans, c'était exceptionnel. Le paysage des librairies de l'époque n'était pas adapté à leur diffusion.
Non, effectivement j’étais trop jeune, mais cela ne change pas grand-chose à ce que je dis sur le cadre général. La loi n’a pas changé la disponibilité du genre ni accru son intérêt. Ceci vient d’un changement des gouts des consommateurs, de son pouvoir d’achat et de la réponse d’éditeurs intéressés.Que certains éditeurs n’aient pas le bon business model, je ne vois pas où est le souci. Idem pour les librairies et auteurs. Par contre, cela me gêne d’avoir le même prix entre ma librairie du coin et Amazon par exemple. C’est d’autant plus vrai qu’Amazon me donne parfois plus de services que le libraire ce qui devrait être l’inverse.Il est certain que cette loi permet à beaucoup de gens de vivre et ne permet pas de se différencier les services et la qualité. Mais comme je l’ai déjà dit, ceci veut dire qu’il y a gaspillage de ressources dans le secteur et que c’est le consommateur qui paie in fine.

Posté : mar. 22 mai 2012 14:40
par Nariel
Hé, déjà que l'éditeur touche moins de 50% et que l'auteur, n'en parlons pas, si on se met à réduire, vous n'aurez plus de livres du tout. Le mieux, c'est d'acheter sur le site de l'éditeur, dans ce cas c'est lui qui gagne plein pot (sans compter l'imprimeur par exemple) et certains augmentent le pourcentage de l'auteur.Un article bien parlant :http://sanahultivers.over-blog.com/arti ... 27993.htmlEn tout cas, acheter à la Fnac n'aide pas forcément l'éditeur, mieux vaut l'acheter en petite librairie où le libraire prendra une plus petite part ^^

Posté : mar. 22 mai 2012 16:01
par Evildeus
Personnellement, éditeurs, distributeurs, auteurs, etc. ce n'est pas mon problème. Moi je ne vois que le prix en tant que consommateur.Si on regarde un marché plus libre (US), cela entraine des innovations en terme d'éditions, et la baisse du prix est compensée par une hausse du volume. Donc pour l’auteur, somme à jeu nulle. Pour le consommateur, que des avantages.