Hé bien, un long chapitre qui se lit comme rien ! (Je veux dire par là qu'on ne voit guère passer les lignes, vu qu'enfin les affaires se dénouent

)En ce qui me concerne, resteront dans les annales l'apparition et la description de Merlin

que l'on découvre avec délices sous un look assez peu conventionnel ; personnellement, les vieux barbons à barbes me laissent de marbre donc là, je suis ravie. Par contre, il faudra que je refasse un tour en arrière : je me rappelle qu'il avait discuté quelques chapitres plus tôt de leur plan respectif avec Armant, mais je ne vois plus le pourquoi de cette alliace et ce que cherchait ledit Merlin. Je trouve également la scène de l'apparition de l'épée très belle et très visuelle. Et la (trop

) rapide guest star d'Aladin m'a fait très plaisir ; quel râleur, celui-là !

J'aurais tellement voulu qu'il se prenne le bec avec Bellerophon... La scène en haut de la tour,
pour le désamorçage, avec Mycroft (HS : il ne vivait pas à Baker Street, lui ?!) et Boiler est aussi très vivante et bien menée ; sans compter
qu'elle tombe pile au bon moment, et laisse notre pauvre Armant bien démuni...Là où j'en aurais voulu un peu plus : hé bien, certes il y a 20 pages mais
ça va un peu vite ; un coup d'épée et hop. Et je trouve que Armant aurait "mérité" un autre sort... Je sais pas, moi : l'asile de fous, la/ les mains coupées... Même si je suis d'accord que ce qui est arrivé contribe à l'image de Merlin. En tout cas, on peut pas dire que Bellerophon se soit beaucoup fatigué dans cette affaire (comparé aux années précédentes), j'ai toujours dit que c'était un parasite (
), pas comme Monseigneur qui sauve quand même la sitation (re
)Bref, un bon moment de lecture !
