Bonjour,Excuse-moi, mais je ne comprends pas le sens de ton intervention (et, du coup, ce qui te fait peur...) ; peux-tu reformuler, de sorte que j'essaye de te rassurer (ou pas) ?PG de Folio SF, donc.owingketinketink a écrit :Ce qui me fait peur dans la dernière intervention, c'est le "il faut lire" à la "je vais bien....... tout va bien
" qu'il m'a semblé entendre. Tout à coup, je vois Danny Boon face au Balrog et qui assène "¡No pasará!"
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Et on continue justement avec le Bélial' !:arrow: http://www.elbakin.net/edition/en-fanta ... -editeurs4
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Au tour de Jérôme Vincent d'ActuSF de passer sur le grill ::arrow: http://www.elbakin.net/edition/en-fanta ... -editeurs5
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Wastburg en poche (et chez Folio SF, j'aime beaucoup cette édition). Moi qui voulait le lire depuis un moment, plus qu'a attendre la version poche. Sinon j'ai tendance à me méfier des coups de coeur des éditeurs en général. Et en particulier Bragelonne, j'aime beaucoup leur catalogue mais les deux derniers coups de coeur de Brag' que j'ai lu....(Les chants de la terre t le Prince écorché)
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Bonsoir.@ PG de Folio SF / @ Les autres : conseil de hérisson, passez directement au dernier paragraphe.Excuses acceptées
et je te présente les miennes pour cette réponse un peu tardive comme pour le galimatias. Je suis nulle avec les émoticônes -mais pas seulement. Tant pis, j'adore ça. Me faudrait quand même un "Les émoticônes pour les nuls". Il faut croire aussi que l'humour n'est pas mon registre, que mes références sont très datées et pourtant... je m'applique à ne pas verser du côté où je penche singulièrement et, qu'enfin, je pratique avec fureur le raccourci analogique. Ouille, ça commence de sentir son phébus...Après lecture des trois premiers entretiens, certes, j'ai eu peur. Je connaissais (un peu) les difficultés des libraires, je n'avais pas mesuré celles des éditeurs. C'est sans doute le programme : "...achetez, empruntez en bibliothèque, lisez..." qui a déclenché le souvenir du sketch de Boon. Mode parenthèse on.L'injonction, la nécessité, y sont certes plaisamment tournées en ridicule mais elles résonnent toujours de façon déchirante à mes oreilles. Entendre : j'adore, ça déchire grave. D'autant plus grave que je ris... jaune en prof. de Lettres qui arpente le terrain de combat et qui compte les morts. Bref, moi aussi, je me débrouille avec mes programmes de la mort qui tue, mes déclarations péremptoires qui passent au-dessus des têtes, mes biblio qui mixent allègrement littérature de jeunesse, classiques devenus "illisibles", littérature générale et fantasy/S.F.... Mode parenthèse off.Alors, il est vrai qu'en faisant allusion au sketch de Boon, j'ai -de fait- opéré un rapprochement des plus malheureux entre les collections Harlequin et celles de Folio Gallimard, du genre infamant... Je plaide coupable.Je pensais également à un autre sketch de Boon d'où la formule "je vais bien...tout va bien". J'aurais pu évoquer la célèbre chanson " Tout va très bien madame la Marquise..." mais bon. Faut être de son temps... Surtout, j'ai supposé -à tort?- que la culture façon Almanach Vermot ou comique troupier passerait au-dessus de bien des guapettes. Ironie, certes, encore, toujours. Mais je dis bien et exactement ce que je pense, à la mode grecque... Cf. Phébus + ironie.A savoir que je n'ai pas cru à un désespoir profond, que j'ai bien entendu la pudeur -celle du rire- dans l'alarme (je lis aussi super bien entre les lignes). Bon, après, dans ma distribution cauchemardesque il y avait les gentils : Boon (c'est fait), Gandalf, les républicains espagnols, l'interviewé qui, tous, les incarne ; les méchants : le Balrog, les franquistes et assimilés, ceux qui ne lisent pas, même pas des Harlequins. Le "Tu ne passeras pas" est devenu ¡No pasará!" quand bien même nous savons tous qu'ils sont passés et qu'ils passent toujours. Alors, maintenant, qu'est-ce qui risque de se passer? Tu le dis : on aura affaire à toi si on ne lit pas, si on n'achète pas chez les libraires, si on ne hante pas les bibliothèques. Et, comme je suis une pauvre folle, ben, je tremble tant que j'en oublie de fuir... Tu ne dis pas ce qui pourrait aussi se passer si, toi, comme d'autres, ne veilliez pas au grain. Déjà que vous n'en engrangez pas des tombereaux de gains... Tu voulais savoir comment je passais de Balrog à franquiste puis, non lecteur? C'est un don. Je suis à l'écoute de toutes mes voix du dedans. Et, ça en fait du monde qui cause, tous en même temps de plus. Galli* peut me faire un procès. D'intentions seulement.Mode parenthèse on. Mes* intimes je leur donne des petits noms. Il y a Guy de Maup, Baudy, Mal à, Gus, le père, Juju, etc... Tu remarqueras que je me cantonne au catalogue Folio Galli de litt. générale, XIXe. Histoire de bien faire rouscailler et marner tous les futurs vieux réacs qui font rien qu'à dénigrer la blanche céans.Mode parenthèse off.Mais, si être assimilé en tant que directeur de collection à Boon, cela relève du procès en diffamation sur l'air de la calomnie, ben Figar, figure-toi bien qu'être confondu avec Gandalf, c'est un compliment. Être comparé à un républicain espagnol, c'est de l'ordre du sacre, du sacrément sacramental, mais les républicains espagnols sont tous en train de se retourner dans ce qui leur tient lieu de tombe parce qu'ils auraient préféré Bradbury à Calderón. Quand même... Quand bien même... Non mais.Voilà.Je m'arrête là parce que 1/ tu sais forcément lire entre les interlignes 2/ je pense que, finalement, les raccourcis analogiques, c'est mieux parce que c'est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus... court. Et, sûr, je ne suis certainement plus la seule à le penser... 


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Bien, bien, bien...Pas sûr d'avoir mieux compris, mais je vais quand même essayer de répondre !Je n'ai aucun problème à être comparé à Dany Boon, à Gandalf, à Franco ou à qui que ce soit d'autre, vivant ou mort, réel ou imaginaire. C'est juste que je ne suis pas sûr que la comparaison soit appropriée.Je ne dis pas "Je vais bien, tout va bien", mais "c'est pas génial, qu'est-ce qu'on peut faire ?" D'ailleurs, ce qui m'étonne, c'est que tu sois consciente des difficultés des libraires, mais pas de celles des éditeurs. Tout cela n'est qu'une seule et même chaîne : si les libraires ne vendent plus de livres, de fait, les éditeurs non plus !Après, personne n'aura affaire à moi s'il ne lit pas ou n'achète pas de livres. Chacun fait bien ce qu'il veut. Par contre, c'est à moi de faire en sorte de proposer des livres qui puissent plaire au plus grand nombre, de les faire connaître, de les défendre... Ce que je voulais dire, et que j'ai peut-être mal dit, c'est "Je vais (à peu près) bien, je vais tout faire pour que ça continue, alors que c'est pas gagné".Voilà, j'espère avoir été plus clair.
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M. FolioSF c'était très clair dés le départ hein
tout le monde n'a pas autant de circonvolutions au cerveau qu'owing
(tu sais que c'est mal de jouer avec le cerveau des autres hein, Miss Zombie
) Pour la collection Pandore, je m'interroge quand même après avoir vu passer l'offre éclair à 3€ les trois bouquins
de l'avenir numérique envisagé.




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Je confirme ;)Pour la collection Pandore, je ne suis pas fan du coup de coeur global pour tous les prochains auteurs à paraitre quand même.Folio SF a écrit :OK, merci, j'avais un doute. On ne sait jamais...Witch a écrit :M. FolioSF c'était très clair dés le départ heintout le monde n'a pas autant de circonvolutions au cerveau qu'owing

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Audrey Petit passe à l'échelon d'au-dessus : Audrey Petit devient directrice littérature généraleEst-ce qu'elle reste aux commandes des litt de l'imaginaire?Est-ce qu'on va avoir une interview, du coup (et surtout) ?Merci pour ces interviews!