La chanson a une dizaine d'années, ce qui explique peut-être l'habillage sonore. Lepps a fait un carton avec (en Russie, évidemment). Depuis, il a beaucoup cultivé "l'air frais" que tu as l'air d'apprécier en fin de morceau. Du coup, là-bas, c'est un genre de Bashung (toutes proportions gardées).Parce qu' il y a aussi les paroles, mais là, ce n'est pas gagné, c'est sûr.En tout cas, merci pour ton avis.Councilman Yoda a écrit :Alors rien de révolutionnaire effectivement, c'est de la variété moderne plan plan qui pique deux trois clichés au rock(ah la guitare électrique) , un son finalement très FM-années-90 mais je ne serai pas étonné que ça se vende bien.Je n'ai donc pas vraiment aimé (sans pour autant détester) sauf la fin : ah un peu d'air frais dans tout ce formatage
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A tous ceux que j'ai contaminé avec les Dropkick Murphys : Ils seront à l'Olympia le jeudi 2 février :DJe suis vraiment très contente de les revoir en concert. Cela va être un super concert, j'en suis sûre ! Sinon, j'écoute pas mal le dernier Megadeth, 13.
Je dois dire que cet album est très bon. Ils restent fidèles à eux-mêmes, à leur style et Dave Mustaine est toujours aussi inspirés. Ils tiennent sacrément le coup sur la durée ... pas comme certains horsemen 

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Tu vois, je suis la fille qui a pleuré en écoutant One en live, mais je dois aussi reconnaitre que j'ai été très déçue par les derniers albums. The Unforgiven III, sérieusement ? Donc oui, sur la durée, je trouve que Megadeth est plus constant (et il y a quelques années, jamais je n'aurais pensé dire un truc pareil !)J'attends ton avis sur Thirteen 
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Le dernier Megadeth est vraiment très moyen, pour ne pas dire médiocre. C'est simple : les 2 1ers premiers titres et le dernier sont sympas, auxquels on rajoute les trois titres issus d'anciennes démos et de face B de Youthanasia...quant au reste ce n'est que du remplissage pour atteindre péniblement le nombre de 13 morceaux. Endgame proposait encore quelques trucs intéressants, mais là c'est vraiment mou, sans conviction...Gwendal, as-tu écouté Lulu, le dernier méfait de Metallica? Moi oui, et il n'y a pas à dire c'est une véritable catastrophe. D'ailleurs l'album se viande complètement au niveau des ventes, toutes les reviews sont négatives, c'est vraiment un four. Mais bon, c'est juste un projet à part et pas véritablement un nouvel album.
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Oui ! Une véritable horreur pour moi. Mais bon j'ai des amis qui adorent, des fans de Lou Reed. Ecouté deux fois (oui je suis maso) mais non ça ne passe pas. Sinon comme j'ai beaucoup de goûts en commun avec toi Aléthia, je suis mal barré aussiDark Schneider a écrit :Gwendal, as-tu écouté Lulu, le dernier méfait de Metallica? Moi oui, et il n'y a pas à dire c'est une véritable catastrophe. D'ailleurs l'album se viande complètement au niveau des ventes, toutes les reviews sont négatives, c'est vraiment un four. Mais bon, c'est juste un projet à part et pas véritablement un nouvel album.
Maybe kindness is the real punk rock - Superman 2025
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Ah ouiiii !!! Like a Mother F......, comme il disait.:(En plus de la période Heartbreakers, cf. Born to Lose, je retiens l'émouvante Can't put your arms around a memory
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Thème repompé à Soloviev Sedoj (inconnu au bataillon, je sais, mais pas ce morceau-là) par Scorpion avec le Berliner Philarmoniker, et adapté en images extraites du Seigneur des Anneaux. Bon, il y a des passages que perso je trouve plutôt ratés, d'autres plutôt réussis, et l'ensemble peut plaire ou irriter, mais il a le mérite d'exister.Et vous, vous en pensez quoi ? www.youtube.com/watch?v=Rybuz1kEsGE
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Si je me souviens bien des articles que j'avais lu sur Johny Thunders, le titre original était Born too loose, mais la maison de disques avait fait une erreur de typo sur les pochettes originales, en écrivant Born to lose.Un sens très différent mais au final ironiquement prophétique quand on pense à la carrière-météorique- du groupe et celle de ses membres.Marrant, c’est born to lose ou born to loose ? Je pose la question parce que c’est écrit avec deux o sur le disque.
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Aucun rapport avec ce qui précède, juste un rappel pour ceux et celles qui n'ont pas eu la chance d'entendre ça :www.youtube.com/watch?v=7YZb8s7Kxa4&feature= relatedwww.youtube.com/watch?v=MInORciE2o0&feature=relatedPour les deux, pas de clip, mais la musique se suffit à elle-même. La première (Stairway to Heaven) peut éveiller dans ses lyrics certains échos qui se rattachent à l'ambiance fantasy du site.Pour la seconde ("Whole Lotta Love", c'est quand même très orienté sexe. Et comme je ne connais pas d'ouvrage fantasy qui ait exploré dans cette direction...Quoi qu'il en soit, il n'en reste pas moins que ces deux morceaux sont d'anthologie, et balancent aux oubliettes un tas de grassouilleries beuglantes faites après. :DAlors, pour ceux et celles qui ne connaissent pas, découvrez, et j'espère que vous apprécierez. ;)PS : Et pour faire TRES éclectique, et qui vaut évidemment par cette voix ahurissante, Vitas :anotherdaylight.wordpress.com/2011/01/05/la-voix-de-vitas-dans-lucia-di-lammermoor/Et si le lien ne fonctionne pas tapez simplement vitas et lammermoor sur google. Surprise garantie. (PS : la musique du morceau est d'un certain Eric Serra.)
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Ami, tu m'as fait très mal (cette réplique culte pour moi et sans doute au moins deux personnes au monde me fait encore rire) :boude:Alors je sais bien qu'une Grande Gouroute ne devrait pas avoir à se charger du recrutement pour sa secte mais comme on n'est jamais mieux servie .... (enfin ça dépend des domainesEthan Iktho a écrit :Pour la seconde ("Whole Lotta Love", c'est quand même très orienté sexe. Et comme je ne connais pas d'ouvrage fantasy qui ait exploré dans cette direction...
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Oh yeah, il faut que je l'achète, j'avais ADORÉ le précédent.NeoSib a écrit :http://3.bp.blogspot.com/-ztpN3Se67FI/T ... 08x608.jpgEt il est MORTEL.
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Bon, pour en revenir au sujet :
Les deux premiers albums du Floyd (réédités en 1973, en vinyles bien sur). Et il y avait quand même de sacrés titres sur ces deux premiers albums. Barrés et sous acide pour le premier (The Piper at the Gates of Down), avec un coté encore influencé par la pop des Beatles, il faut bien le dire, et plus dur pour le deuxième (A Saucerful of Secrets)
