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Une interview pour découvrir l'auteur:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/Un- ... ellenstein
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Un de ces quatre plus tard... ^^Alléchée depuis un moment par la couverture et le résumé, je n'ai pas pu me retenir d'être légèrement déçue en terminant ce livre, même si ça reste une bonne lecture. L'intrigue est très simple mais efficace, et va droit à l'essentiel sans tergiverser ni digresser inutilement. Le rythme est soutenu, et les pages se tournent sans qu'on s'en rende compte ! La fin m'a beaucoup plu. J'ai aimé cette revisite du mythe du berserker, qui se prête très bien aux aventures dures et sombres des héros, cernés de monstres qu'ils sont eux-même condamnés à devenir. Dans ce récit, l'aspect psychologique n'est pas à négliger. Mais j'ai trouvé l'écriture sèche, froide, distante, ce qui n'est pas un problème en soi, tant que c'est bien écrit (ce qui est le cas). Mais du coup, je n'ai pas réussi à m'immerger complètement dans l'histoire, vibrer avec les personnages. Je suis restée tout du long une lointaine spectatrice, sans ressentir d'émotion, de suspens. Idem, donc, avec les personnages, auxquels je ne me suis pas attachée. Si les trois héros ont une personnalité bien distincte, je l'ai trouvé à peine effleurée, et la plupart du temps, ils ne parviennent qu'à être agaçants. Le côté extraordinaire d'Ivar est trop appuyé, les choses sont trop faciles pour lui. Ça a été un peu frustrant de ne pas accrocher totalement à cette histoire qui avait pourtant les ingrédients nécessaires pour m'embarquer.
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Le Dieu oiseau est sorti ! Voici le résumé de l'éditeur :
Dévoré en une journée pour moi, ce fameux Dieu Oiseau. Nous avons une société fortement inspirée de la civilisation inca, des personnages qui flirtent avec la folie - quand ils ne tombent pas à pieds joints dedans - une quête désespérée de la part de notre héros pour retrouver sa liberté, et des passages plus gore les uns que les autres - cannibalisme, sacrifices humains - mais qui ont leur sens dans le récit.J'ai beaucoup aimé, alors que la civilisation inca n'est pas forcément un cadre qui me plaît. Cela confirme surtout que j'aime le style de l'auteur, qui parvient à chacun de ses romans à me faire ressentir toutes sortes d'émotionsLe dieu oiseauUne île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l'île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d'orgie où les vainqueurs peuvent réduire en esclavage, tuer, violer, et même dévorer leurs adversaires.Il y a dix ans, Faolan a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis son esclave et doit subir ses fantaisies perverses.Enfin, la nouvelle compétition est sur le point de commencer. L'occasion pour Faolan de prendre sa revanche.Sa vengeance aura-t-elle le goût du sang ?

Memento mori
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Je viens de refermer le Roi des Fauves, une histoire relativement simple mais qui tient la route, du rythme sans temps mort. Son univers est immersif comme il faut, des références aux mondes nordiques mais sans en abuser, on sent l'attachement de l'auteure a la question annimale, j'ai partivulièrement apprécié.Un petit reproche cependant, c'est un peu court et cela nuit au developpement des personnages. Au delà d'Ivar, Oswald et Kaya sont peut-être un peu binaires, quant aux antagonistes j'aurai tant aimer en savoir plus ! mais ça na gâche en rien cette lecture et je vais me pencher sur les Loups Chantants avec plaisir !
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J'ai lu le Roi des Fauves sans qu'il ne me laisse de souvenirs impérissables si ce n'est celle d'une lecture sympathique et rapide. J'ai par la suite offert ce livre à un jeune garçon convaincu d'être trop "bête" pour lire, malheureusement.Il l'a dévoré en trois jours, n'a pas arrêté d'en parler avec enthousiasme et de fait, commence à prendre assez confiance en lui pour vouloir continuer à lire...y compris les livres de l'auteur.
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J'imagine, rien que pour ça, ça valait le coût que tu l'achètes ! C'est vraiment chouette !Nephtys a écrit :J'ai par la suite offert ce livre à un jeune garçon convaincu d'être trop "bête" pour lire, malheureusement.Il l'a dévoré en trois jours, n'a pas arrêté d'en parler avec enthousiasme et de fait, commence à prendre assez confiance en lui pour vouloir continuer à lire...y compris les livres de l'auteur.

« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin