Je vais devancer Gillossen sur la critique de "Diamond Warriors" ;)J'ai adoré ce livre, c'est vraiment une fin digne du cycle, et je n'ai aucune critique négative à émettre. David Zindell est un poète, son livre est un vrai enchantement à lire, et est porteur d'un message très fort sur le sens de la vie.Concernant l'histoire, il n'y a pas de temps morts, le déroulement n'est pas aussi linéaire que dans les premiers livres, et à de nombreuses fois où on pense que quelque chose va se passer d'une certaine façon, Zindell nous frustre encore, mais pour notre plus grand plaisir :pCela fait que la fin du livre reste assez incertaine, et c'est plutot agréable :)Je suis sûr que Gillossen retrancrira tout cela mieux que moi, mais j'ai rarement autant apprécié un livre, parce qu'il arrive assez souvent sur certains cycles que la fin semble baclée, qu'elle ne plaise pas vraiment, mais là, pour moi, Zindell ne pouvait pas vraiment faire mieux.Et pour la deuxième fois avec un livre (après Erikson avec "Deadhouse Gates"), tout un passage m'a ému au point de me tirer des larmes,
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lorsque les valari rejoignent finalement le champ de bataille et désignent Valashu comme leur chef de guerre
et de nombreux autres moments m'ont également profondément touché.Que dire d'autres ? ah oui, qu'on comprend enfin le pourquoi des Nine Kingdoms (c'est d'ailleurs dans le passage qui m'a fait pleurer

), et cela clôt une de mes questions existentielles de ces dernières années
