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N'empêche que ça nous en apprend beaucoup sur ce gentil garçon avec son cure-dent, et sur la façon dont on vivait à l'époque d'où il vient.Par exemple, on voit tout de suite que Bob portait sa montre au-dessus du biceps, et pas au poignet. Mignon, mais discutable, comme choix. D'un côté, c'est assez logique : s'il l'avait portée au poignet, il se serait enfoncé sa lame dans l'oeil à chaque fois qu'il aurait voulu savoir l'heure. Mais c'est quand même assez peu pratique : avec la montre au-dessus du biceps, pour savoir l'heure faut qu'il se dévisse le cou, d'où torticolis à répétition... et en pure perte, en plus, puisque sa tocante, elle n'a pas de cadran. :rolleyes:Moi je trouve que rien que ce détail, ça vous pose déjà une ambiance de mystère, euh... mystérieuse, pour tout dire.Mais quand même, pour la traduction du titre en français, si un éditeur de par chez nous accepte un roman à énigmes horlogères en jupette, y'a du mourron à se faire : "Le retour de Noir Pelforth-Brune", pas sûr que ça accroche. 
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C'est vrai que son cure-dents ne doit pas faire beaucoup plus qu'un mètre de long. On est loin de la claymore de William Wallace dans Braveheart !Nesumi a écrit :moi, je trouve que Black Douglas a une toute petite épée et qu'en plus, il doit pas être très doué puisqu'il la tient à 2 mains. Comment ? on se le demande parce que la poignée ne doit pas tenir dans ses 2 énormes pognes
