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Message personnel : Le chèque est parti au faitGilthanas a écrit :Quand tu fais semblant de ne pas comprendre ce que raconte Guigz sur Graceling, quand il dit qu'il n'a pas aimé le livre et pas que le livre est nul, et qu'après dix minutes, tu conclues par un "match nul alors" :pQuelle mauvaise foi

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Podcast jeunesse fort sympathique.J'aime beaucoup votre bonne humeur. Même si j'ai du parfois baisser le son, je rigolais tout seul en l'écoutant dans la rue. (enfin, un peu avec vous aussi)Je n'ai toujours pas compris ce qui décide les éditeurs à classer un livre en jeunesse, jeune adulte ou adulte.Mais c'était un beau voyage en votre compagnie. ;)Concernant l'épée de vérité, pourquoi en reparler à chaque podcast ?Personnellement, le running gag me fait marrer, mais il y a tellement d’œuvre fantasy à faire découvrir lors d'un podcast que perdre un temps précieux à parler d'un cycle que personne n'aime dans l'équipe ... ça risque de lasser.C'était mon APTSAMQJA (avis personnel totalement subjectif, à moi que j'ai) 

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Tu as raison.Eolan a écrit :Concernant l'épée de vérité, pourquoi en reparler à chaque podcast ?Personnellement, le running gag me fait marrer, mais il y a tellement d’œuvre fantasy à faire découvrir lors d'un podcast que perdre un temps précieux à parler d'un cycle que personne n'aime dans l'équipe ... ça risque de lasser.C'était mon APTSAMQJA (avis personnel totalement subjectif, à moi que j'ai)

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A 1:07:27, à la blague "Chevreau"...OMFG les rires dignes d'un Sabbah de sorcières/sorciers avec des sacrifices de bébés humains aveugles mêlés à des chèvres O_oExcellent podcast, très bien expliqué, j'ai appris beaucoup de notions que je pourrais ressortir à mon oral de français si besoin est, encore merci pour votre boulot! :DPS: Witch elle était comme http://hpics.li/65284e0
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Vous enchainez les podcasts en ce moments ! Et 3h30, voilà qui va me prendre du temps ! De quoi passer un bon moment agréablement. :DJe viens de finir le podcast spécial jeunesse: intéressant comme d'habitude. Par contre, je suis toujours étonnée de voir autant encensée La croisé des mondes, que je n'ai même pas réussi à finir...
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Moi, un truc qui me gonfle, c'est de croire que mettre un peu de violence ou de sexe cru on a une histoire "mature".Alors que c'est typiquement du fantasme adolescent d'être dans l'ostentatoire de trucs assez banals pour un adulte. (Je parle du sexe).Pareil pour le glauque et la noirceur. A l'adolescence, on renie tout en bloc sans mesure et trouve tout naze et injuste... (Quand j'étais ado, j'adorais le mythe de chtullu pour son côté désabusé. )Dernièrement, j'ai lu des trucs pas classés chez les young adults parce qu'il y a des assassins et des violeurs mais mon cerveau d'homme de 34 ans n'a pas été chamboulé... Peter V. Brett et Brent Weeks, si vous m'entendez moi et mon marteau... Le gros truc pour moi qui distingue le young adult, c'est l'importance de l'identification possible au héros/héroine. Et, corollaire de cela, il y a des thèmes qui touchent plus les "jeunes adultes" : la filiation, l'injustice, la déviance, ect...Gillossen a écrit :D'autres réactions ?
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J'ai surtout apprécié la différence essentielle faite entre maturité liée à l'expérience de lecture et celle simplement liée à l'âge.De plus, ayant écouté ce podcast et celui sur les bibliothèques dans la foulée, je me demandais si le rôle essentiel de médiateur des bibliothèques ne pouvait pas tenter de diminuer l’appréhension des adultes qui n'aime pas simplement parce qu'ils ne connaissent pas.
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Pareil.Mais pour les anglo-saxons les termes "young" et "junior" sont couramment utilisés pour désigner un statut de débutant/novice dans le monde réel, a fortiori le monde professionnel.En France, en ressource humaine, on est senior à partir de 45-50 ans quelque soit son parcours.Au USA, on est senior dans un domaine si on a une expérience de X années. 5 ans je crois...(Je rappelle que les USA élisent comme présidents des gens de 40 ans (Kennedy, Obama...)gnome a écrit :J'ai surtout apprécié la différence essentielle faite entre maturité liée à l'expérience de lecture et celle simplement liée à l'âge.
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J'écoute le podcast actuellement. La chèvre de M. Seguin, le choc
J'ai eu du mal à me remettre de la révélation des 3 petits cochons quand j'avais 18 ans, et là j'apprends que ce que j'ai lu n'est pas vraiment ce que j'ai lu... Va falloir que je dise ça à ma mère. :DEt moi aussi, j'ai trouvé la mort de Mufasa très triste et intense. Dans Bambi, c édulcoré... Tout comme Gillo, Drizzt m'a aidé à avoir plus envie de fantasy. A l'époque, son monde, les elfes noirs, c'était un vrai changement. Bon j'avais 18 ans, et j'avais lu le le SDA + Bilbo à 15 ans, mais à l'époque je n'avais trouvé autour de moi aucun autre livre de ce genre. (la cambrousse, voyez...
)Pullman, j'adore, la force de cette histoire m'a beaucoup marquée aussi. J'y repense toujours avec beaucoup de tendresse et de nostalgie.La littérature pour la jeunesse me plait pour son aspect lecture "bonbon", c'est souvent plus fluide dans l'écriture, plus direct, moins d'états d'âme. Je prends ça avec beaucoup de plaisir. Et je suis tout à fait d'accord sur l'avis bien écrit / mal écrit d'Aka, finalement la perception de l'écriture évolue avec l'age et l'expérience, l'important reste tout de même de se faire plaisir.

