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Un héros, une malédiction, une prophétie, un destin : quelle est la part de liberté ?Là, on tombe vraiment dans le sujet de philo

Speedi Crafty a écrit :Dans une autre mesure on peut dire que les héros sont aussi des esclaves, des esclaves de leurs propres destins, (...)

Et Elric est esclave de Stormbringer ? Cette épée a sans aucun doute une volonté, même si elle nous est difficilement compréhensible.

Tout comme Ashram dans Lodoss avec son épée... Mais vu que l'idée a été pompée sur Elric...

L'asservissement par la magie est aussi un thème intéressant. Je pense aux Crépusculaires de Gaborit où les magiciens Et d'une toute autre façon plus humoristique, il y a aussi cette notion dans la trilogie Bartiméus, ce dont se plaint d'ailleurs pas mal l'intéressé. Même dans Harry Potter on évoque l'asservissement d'une race par une autre. Ce qui conduit Hermione avec toute la réussite que l'on sait Pas trop le temps de développer mais l'esclavage dans Kushiel est pratiqué notamment par les Skaldiques et il y a aussi la situation des "pensionnaires" des Maisons de la Cour de Nuit qui sont d'une certaine façon "asservies" même si viennent tempérer la situation. Sinon pour un esclavage "classique" qui sert de base au fonctionnement d'une société (Ma'ame Scarlett !) il y a la trilogie de l'Empire évidemment. Ayant revu Amistad hier, je me dis que la problématique n'a pas fini d'inspirer les auteurs, tellement cela peut être complexe. Sinon Goodkind quelqu'un ?

"Master Rahl guide us. Master Rahl teach us. Master Rahl protect us. In your light we thrive. In your mercy we are sheltered. In your wisdom we are humbled. We live only to serve. Our lives are yours.":mrgreen:

Sinon dans l'idée de l'asservissement à un destin, il y a toute la Belgariade qui se pose là ! Tout un destinJe me rappelle que la première fois que je l'avais lue, ça m'avait fait bizarre... L'idée de base de la prophétie, mais poussée si loin que les héros semblent n'avoir plus aucun libre-arbitre.

Ce qui me fait me rappeler les Nyissiens et leur traffic d'esclave. De l'esclavage bien "de chez nous", bien terrestre celui-là. Avec l'idée de la rédemption :C'est messianique. (ta mère). ((désolé vraiment)).

Peut-on considérer les Dédiés dans "les seigneurs des runes" comme des esclaves?Car même si en général ils sont volontaires pour "offrir" leurs dons, ils deviennent "handicapés"

esclaves, non (du moins pas tous car certains seigneurs sont peu scrupuleux)Mais vu que dans le titre on parle de servitude, là, ça colle.Sinon, il y a les Mord-Siths

*lagogolequiapasvuquiavaitdesreponses*Les Mord-Siths ce sont des sortes de maîtresses/esclaves,

En même temps, la Fantasy, c'est quand même souvent un héros esclave de son destin, non ?

Un exemple d'un esclavage heureux est le cycle de Gor de John Norman. Les femmes sont de façon récurrente esclaves du héros et finissent par être heureuses de l'être... :sifflote:Car c'est là qu'est leur véritable place, comme nous le savons tous...

Oui sort, mais vite vite

@Duarcan OMG!!! Quand Witch va voir ça!!!!!!

Duarcan, tu vois l'exécution au tout début de la saison 1 de Game of Thrones ? Remplace Eddard par Witch (ou Owing ) et mets-toi à la place du fuyard...

Du calme, tous. C'était probablement une citation sans les guillemets.

Yksin a écrit :Duarcan, tu vois l'exécution au tout début de la saison 1 de Game of Thrones ? Remplace Eddard par Witch (ou Owing ) et mets-toi à la place du fuyard...

Je dirais plutôt la dernière scène en date de l'ami Théon, la mort sans torture me parait trop douce...

@Foradan: non non pas du tout :DDésolé ça faisait 4jours que je me retenais de parler de Gor ici, plus je ne le pouvais pas... :sifflote:Cela dit quand j'écris: "leur véritable place", c'est dans le monde de Gor, bien évidemment. Roooh Mais quels esprits mal tournés vous avez... :pPour le sujet du topic:En attendant on peut reprocher beaucoup de choses à Norman, dont sa bétise et son sexisme, mais on ne peut nier que c'est l'un des rares auteurs, (le seul?), de fantasy qui ait réussi à implanter une culture underground (BDSM) inspirée de la philosophie (misogyne, on peut le dire) de son oeuvre dans la vie réelle.Après certes, on peut se demander si cela a vraiment contribué à relever l'image de la fantasy au sein de la littérature ou apporté quoi que ce soit de positif... :sifflote:Mais je trouve néanmoins intéressant de mentionner que des gens se sont suffisamment reconnus là-dedans pour l'intégrer à leur propre philosophie de vie.PS:Quand je lis sur des pages internet des commentaires de ce style:Moi aussi j'en bave d'incrédulité et je me pose de grosses questions sur la santé mentale de certaines personnes

Oh, oh, il s'en passe des choses ici... C'est gentil de m'avoir invitée mais il me faut rectifier... un ou deux cols.

Phoe a écrit :

Yksin a écrit:Duarcan, tu vois l'exécution au tout début de la saison 1 de Game of Thrones ? Remplace Eddard par Witch (ou Owing tongue) et mets-toi à la place du fuyard... lol

Je dirais plutôt la dernière scène en date de l'ami Théon, la mort sans torture me parait trop douce...

Partant du principe qu'une exécution n'est jamais propre, je préfère pratiquer les miennes à la petite cuillère -le petit doigt levé s'entend.

Duarcan a écrit :@Foradan: non non pas du tout :DDésolé ça faisait 4jours que je me retenais de parler de Gor ici, plus je ne le pouvais pas... :sifflote:Cela dit quand j'écris: "leur véritable place", c'est dans le monde de Gor, bien évidemment.

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Gor strictly believes in the 'natural order'. There aren't any exceptions to this rule. Men always dominate, women always submit.

Roooh Mais quels esprits mal tournés vous avez...

Tu réalises que tu me dis "non pas du tout" en disant juste après que j'ai raison ?Même si c'était ta philosophie (et ponctuellement, le temps d'une soirée cosplay, ça peut être distrayant je suppose), c'est une citation, na !