Lu le 2ème tome dont j'attendais sans doute trop. Je l'ai déjà signalé : la 2ème couverture m'avait déçue.Après lecture, nom d'un Dodo *, elle me déçoit plus encore. La maison d'édition n'aurait-elle pas un problème avec ses orbites oculaires. Le plus gros souci venant, ça m'en a tout
l'air 
de l'adjectif.Car, enfin, voire menfin! il me semble que :1/ une certaine ombrelle a un rôle conséquent à jouer dans l'intrigue et, ce, en plusieurs occasions. Cette ombrelle ne protège pas que du soleil... Protectorat et protection. Je n'ai pas eu ma ra-tion d'ombrelle or Alexia est toute ombrelle. :blink:Je le dis parce que a) c'est vrai b) j'ai envie c) c'est rapport au suspense : celui du book et celui que j'instaure, pour une révélation

ultérieure, avec une maestria -à définir.2/ une ombre plane sur le royaume -que dis-je, l'Empire.

C'est là que je commence à tenter de vous embrumer avec une théorie fumante comme il m'en vient nuitamment : l'ombrelle est un sabre laser et Alexia un jedaï égaré dans une histoire comme seuls les sujets de Sa majesté savent et peuvent en produire : loufdingue. Ouf, Carriger n'est pas britannique... Sérieusement, on a eu chaud... Revenons à la bonne vieille thématique : l'ombre = l'ennemi.Or, donc, la seule chose qui plane à l'image , c'est le zeppelin et le brouillard que l'équipe artistique a en grande e
steam. Normal, me direz-vous ; même plus, cohérent : après tout le titre le proclame : sans forme... Une ombre sans forme quoi. Faut suivre. :ko:Et comment qu'il fait il donc le malheureux photoshopeur pour "figurer" une ombre sans forme qui plane de surcroît. :tetemur:Il donne dans la métaphore artistique (doublement pléonastique) ou pas? Vouiiiiii.
Steampunk, on lui a dit. Alors, il nimbe de fog.C'est fou comme c'est flou, bref on est dans les limbes ou zone du grand flou. Spiritu-mysticotruc, ça serait carrément bien joué le coup des limbes. Alors? Ben non. Parce que Photoshop, il a pas la fonction "limbe". PIs, d'abord en art, ils appellent ça l'estompe. Ok, Léonard seulement faudrait voir à trouver moyen de pas trop nous enfumer à coup de sfumato. 3/Parce que il n'y a pas de sfumato sans feu et en l'occurence sans ire. Rapport au fait qu'il faudrait pas prendre le chaland pour un enfant du bon Dieu voire un canard sauvage même si Alexia se pavane en bleu canard. Faut pas. <_<Zeppelin exit, lunettes d'aérostier exit, qu'est-ce qu'elle a de steampunk la couverture? Si au moins, les lunettes avaient dévoré le visage du modèle. Que l'humour inhérent à l'écriture trouve ici une traduction conforme à l'absence de coquetterie ou sens de l'élégance du personnage. Derniers détails relatifs aux accessoires, le chapeau haut de forme c'est la marque quasi identitaire d'un autre personne féminin et enfin le chapeau qui tutoie le ridicule c'est l'apanage d'un troisième personnage féminin : Ivy. La 1ère couv. c'était Alexia. La 2ème c'est un mannequin qui prend la pose. Un mannequin avec une frange. :(4/ Enfin, et revenons un chouïa en arrière histoire que la démonstration colle au sujet : "sans forme". :pToute ombre a une forme et vice-versa. C'est physique. Je savais bien que chez Orbit, ils avaient un problème oculaire... 5/ apparaissent de nouveaux personnages qui ont tout à voir avec la bit-litt.... et la notion d'ombre telle qu'on la trouvait notamment chez les grecs anciens et au hasard Homère et au hasard l'
Odyssée -mais on oublie le zeppelin.Car, après tout, ici aussi, il est question de grands voyages et même du grand voyage. Car, ici comme là, le rôle des ombres est de révéler et de guider dans toute cette purée de poix d'intrigue.Bientôt 4 heures du mat. Owing quitte ton orbite, atterrit dans ton pageot**. Tu reviendras un jour ou sera-ce une nuit jacter de ce 2ème tome, de l'importance de l'ombrelle, de la valeur du suffixe (si, je vais oser), de la steampunkisation mon orbite oculaire, etc... *copyright Aléthia.

** Dans la vraie vie, Owing, Ketinketink, etc... C'est pas mon vrai nom. Petite crise -que le psy et moi espèrons passagère- de schizophrénie.