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Bien aimé, je suis de l'avis de Gillo. Et de plus, l'auteure est fort sympathique, ce qui ne gâte rien ! A mon sens, il faut absolument oublier la référence à Dumas, qui est une référence franco-française. Ellen Kushner m'a dit qu'elle n'avait jamais rien lu de Dumas avant l'écriture du roman, même si elle avait vu le film des Trois Mousquetaires.J'espère que la suite, The privilege of the sword, sera traduit, ainsi que The Fall of the Kings, à mon avis le meilleur des 3 romans qui se passent dans la même ville.
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Bon moment de lecture, les chapitres s'enchainent bien.Un bémol : J'étais déçu de ne pas avoir plus de détails dans les intrigues menés par les nobles du Conseil dont j'ai déjà tout oublié. Je me suis demandé où on allait parfois. C'est peut-être fait exprès pour rester du côté du dueliste.J'ai jamais pensé à Dumas, en lisant ce livre, mais certaines scènes sont aussi bonnes que du Dumas. 

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Je pense qu'il y a de ça, dans le sens où c'est de toute façon un tout autre monde. Sans compter qu'il faut bien préserver comme on peut le suspense de la "révélation" des derniers chapitres.Oceliwin a écrit :Un bémol : J'étais déçu de ne pas avoir plus de détails dans les intrigues menés par les nobles du Conseil dont j'ai déjà tout oublié. Je me suis demandé où on allait parfois. C'est peut-être fait exprès pour rester du côté du dueliste.

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Enfin lu après me l'être fait dédicacer lors des Utopiales dernières.Avant la critique, j'ai un petit reproche de fond à formuler avec notamment quelques redites de la part de l'auteur lors des premiers chapitres. C'est léger, mais ça m'a marqué. Heureusement, ça disparait assez vite.Sinon, j'ai beaucoup aimé et je pencherais plutôt pour un 8.5. J'ai en particulier apprécié tout l'aspect psychologie des personnages. Ellen Kushner aborde de nombreux thèmes, notamment l'homosexualité, mais toujours de manière assez fine. Bref, c'est très bien écrit - décrit et je trouve que la comparaison avec Dumas est valable sur ces points là. Après, je suis un peu plus dubitatif sur l'aspect plus "aventures", mais bon le coeur du roman n'est pas là. On ne parle pas de fantasy de manières pour rien quand on évoque Kushner.Au final, une très bonne lecture, avec un seul regret, la mise sur la touche de Michael Godwin, dont j'espérais beaucoup plus.
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Ah, j'ai profité de la sortie en poche pour le lire.J'avais déjà lu The Priviledge of the Sword, mais les souvenirs s'étaient suffisamment estompés pour que le suspense ne soit pas gâché (enfin, je savvais quand même qui était Alec, du coup).J'ai beaucoup aimé, comme le précédent livre (ou le suivant, plutôt), même si je me demandais parfois un peu où on allait.