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MASTERTON (AFP) - Les autorités sanitaires néo-zélandaises ont conseillé aux participants à une convention internationale de renoncer à l'accueil traditionnel maori, le hongi, qui consiste à se frotter le nez.Quatre-vingt délégués chinois étaient attendus à une Convention des villes jumelées à Masterton, mais 32 ont renoncé à faire le déplacement en raison de l'épidémie de pneumonie atypique, ou syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), qui a fait quelque 60 morts dans le monde et dont l'origine se trouverait en Chine. Le directeur des services de santé publique néo-zélandais, Colin Tukuitonga, a estimé que pratiquer le hongi pourrait être risqué. "Cela me semble être une mesure de précaution sensée", a-t-il dit.

Découverte d'un calamar colossal dans l'Antarctique WELLINGTON (Reuters) - Un calamar rare et dangereux, pesant la bagatelle de 150 kg, doté d'yeux de la taille d'une assiette et de griffes acérées, a été capturé par des pêcheurs à proximité de l'Antarctique, ont annoncé des scientifiques néo-zélandais jeudi.Cette femelle, ayant atteint la moitié de sa croissance, est seulement le second spécimen intact connu de ce céphalopode monstrueux, selon Steve O'Shea, spécialiste de biologie marine au Musée national de Nouvelle-Zélande."J'ai vu 105 calamars géants, mais quelque chose comme ca, c'est exceptionnel", a-t-il expliqué à Reuters.Un chalutier a attrapé le calamar dans la Mer de Ross, au large de l'Antarctique, à environ 3 600 kilomètres au sud de Wellington. Ses restes sont conservés au Musée national de Nouvelle-Zélande.Le corps de ce calamar de taille colossale est beaucoup plus grand que celui du calamar géant, qui peut peser jusqu'à 900 kg à taille adulte. Les tentacules d'un calamar géant peuvent atteindre 13 mètres de long, contre 5 mètres pour celles de la créature pêchée dernièrement.Les comparaisons sont difficiles en raison de la rareté du calamar colossal et de son environnement inhospitalier. Cinq des six spécimen connus ont été découverts en morceaux dans l'estomac de cachalots.Selon le biologiste marin Kat Bolstad, le calamar colossal est plus dangereux que le calamar géant, le monstre des profondeurs qui attaque le Nautilus du capitaine Nemo dans le roman de Jules Verne "20 000 lieues sous les mers".

...doté (..) de griffes acérées ...

...doté (..) de griffes acérées ...

Un calamar avec des griffes :shock: , ok pour le bec mais là ....

Waouh! Ils ont retrouvé le guetteur de devant la Moria! Moi qui croyait que dans le film c'était pas un vrai monstre!!

Edmund Hillary s'en prend à ceux "qui s'envoient des bières" sur l'Everest KATMANDOU (AFP) - Le vainqueur de l'Everest il y a cinquante ans, Edmund Hillary, s'en est pris mercredi aux alpinistes modernes "qui s'envoient des bières" au pied de la plus haute montagne du monde."Traîner au camp de base à s'envoyer des cannettes de bière, je ne trouve pas particulièrement que ce soit de l'alpinisme", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Katmandou. Le premier homme à gravir la montagne, le 29 mai 1953, avec le sherpa aujourd'hui disparu Tenzing Norgay, est le héros des commémorations de l'exploit organisées par le gouvernement népalais cette semaine. Mais il n'a pas caché combien il se sentait loin de certaines dérives de l'alpinisme moderne et de l'exploitation de l'Everest à des fins touristiques et mercantiles. "Je ne suis pas content quant à l'avenir de l'Everest. Au camp de base, il y a un millier de personnes, 500 tentes. Il y a une cantine, une sorte de bistrot et du confort. C'est peut-être ce que les jeunes aiment", a dit le pionnier âgé aujourd'hui de 83 ans. Il est revenu sur sa propre ascension, à une époque où la montagne était vierge et où il fallait découvrir la voie du sommet à 8.848 m. Il fallait "faire face aux défis" dans la cascade de séracs instables et les crevasses géantes du pied de l'Everest, sur la face glacée du Lhotse plus haut, "tailler des marches et parvenir au col Sud", un endroit battu par les vents à quelque 8.000 m d'où l'assaut final est aujourd'hui donné. Le Néo-Zélandais a aussi critiqué la commercialisation de l'Everest par des agences qui demandent des sommes importantes pour emmener au sommet des gens parfois sans grande expérience. "Pouvoir payer 60.000 dollars n'est pas un grand progrès pour l'alpinisme", a-t-il dit. Il s'est de nouveau prononcé pour une restriction de l'accès à l'Everest en limitant le nombre des expéditions à une ou deux par voie. L'Everest compte quelque sept voies sur le versant népalais. "Il y a beaucoup trop d'expéditions" aujourd'hui, a-t-il dit, alors que quelque 25, un nombre record, ont été autorisées à tenter l'Everest pour le cinquantenaire. Il a rappelé avoir suggéré une limitation des expéditions au gouvernement népalais, il y a quelques années. "Mais la tentation des devises a été trop forte", a-t-il regretté. Les expéditions doivent payer d'importantes royalties au Népal pour pouvoir aller à l'Everest.

Un Néo-Zélandais de 49 ans, Bruce Simpson, a annoncé qu'il construisait un missile de croisière chez lui dans son garage, avec un message simple: pas besoin pour cela d'être un scientifique spécialiste des fusées.

"Ce n'est pas une chose que nous recommandons aux gens de faire chez eux".