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Je comprends mieux, même si je ne l'ai vraiment pas ressenti comme ça à ma lecture ! ^^
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin

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J'ai bien aimé ce livre, mais j'admets que su côté romances homosexuelles, l'auteure en a fait trop.
L’héroïne qui se ballade, et qui tombe sans arrêt sur quelqu'un intéressé, la jeune fille qui se promène en douce dans une prison, et qui ne pense qu'à ça et pas au danger... Cela finit par faire beaucoup.

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Ah ben, il est sympa, ce trailer^^

Ca fait un bon bout de temps que je songe à me payer le premier tome... Peut-être que la sortie du second serait, pour moi, l'occasion de prendre le précédent...

On verra! ;)

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Flykillerman a écrit :
Den a écrit :Ah oui, j'avoue qu'elle me plait bien aussi, cette couverture! :)

Attend de voir celle de Sénéchal demain ;)

J'en frémis d'avance! ;)

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Nariel a écrit :Tain mais sérieusement, "le marais", "la gay pride" ? Vous avez oublié votre respect à la librairie ou bien ? Retournez lire des livres bien heteros si ça vous dérange tant que ça.

Fabien Lyraud a écrit :
De deux, c'est franchement la gay pride et c'est pas crédible.

Est ce que vous savez que dans les sociétés préchrétiennes l'homosexualité était tolérée ?
Et la fantasy est une littérature d'expérimentation anthropologique. On crée des sociétés qui ont des différences avec les sociétés du passé telle que nous les avons connu. C'est même tout l'intérêt.

Alors j'arrive après la guerre mais comme dit plus haut, ce n'est pas le problème que les romances soient homosexuelles, c'est jusque que ce n'est PAS crédible une seule seconde. Rien ne va et c'est juste la pour faire bien et rendre le truc vaguement sulfureux. Car de nos jours, ce n'est plus sulfureux justement.
Ce serait des personnages hétéros que le problème serait le même.
La société du bouquin n'est clairement pas une société pré-chrétienne ou l'homosexualité est admise. Loin de là. Pourtant, l'auteur nous en met à toutes les sauces. D'oú la gay-pride. Et c'est clairement elle qui a un soucis avec les hommes. Les femmes vivent des romances pleines d'amour et de jouissance de leurs corps alors que le premier homme est violé par toute la caravane... J'ai eu l'impression de lire le bouquin d'une féministe décérébrée de base.
Je ne trouve pas ça crédible parce que justement je suis bien placé pour savoir comment ces relations se nouent et se vivent, mais là on est tous dans le même bateau parce qu'au final ce n'est pas une question d'attributs.
Je ne tombe pas amoureux de tout les mecs que je croise ni avec qui je couche. Et je ne les oublies pas comme des kleenex.
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Ridicule.
Si c'est pour utiliser le sujet de cette manière, autant ne pas le faire. Ou essayer d'être plus subtil.

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Mmmmh.
je sais pas si je vais l'acheter celui là, ou alors dans très longtemps quand j'aurai acheté puis finis tous ceux qui m'intéressent pour cette année.
Le 1er, j'ai dû mettre 2 mois à le lire, et je suis allé au bout parce qu'il était dédicacé par l'auteur et que je suis quelqu'un de têtu qui aime bien finir ce qu'il entreprend.
J'ai lu les commentaires précédents, et le point qui m'a le plus marqué, c'est que j'ai fait un vrai effort de mémoire pour me souvenir de l'histoire (qui est Yule? je ne sais plus...).
Enfin bref, il va rejoindre le coin de ma bibliothèque à côté du 1er tome de Farlander et il ne sera plus jamais sorti (enfin pas par moi).

Dommage car je trouve qu'Estelle Faye a une très belle plume. Mais des fois ça ne suffit pas. Du coup j'ai une appréhension à attaquer ces autres romans.

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Sauf si je me mets au braille et qu'il est sorti dans ce format ;)

D'ailleurs, ça existe les romans de fantasy en braille pour nos amis aveugles ? (une bonne question à se poser avant de prendre un coup de LBD)

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Merci pour la chronique, ayant plutôt apprécié le premier tome je vais m'y intéresser (et je n'avais pas trouvé la partie romance si prépondérante que cela, au vu du contexte dans lequel vivent les personnages).