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Gillossen a écrit :Ben dis donc, si ça c'est une transition abrupte pour toi... :oUn entretien est prévu avec l'auteur ! :)
Ah oui, j'ai trouvé ça assez frappant parce que je n'ai même pas compris qu'on était passé d'une scène à l'autre, je me suis du coup demandé ce que venait faire Maitre Kit là dedans alors qu'il était pas concerné de prime abord :mrgreen:Cool pour l'entretien ;)

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Gillossen a écrit :Si je me souviens bien, les éditeurs mettent tant d'exemplaires en jeu et tu peux postuler en t'engageant à le chronique en revanche.
Ok en effet j'ai lu plus en détail cette fois-ci. Le principe est pas mauvais mais à mon avis ça doit être dur de gagner... En gros : un concours pour chaque critique de livre ! Ça doit en faire des paquets à envoyer (et certainement des critiques à relire)...Gil, tu nous diras si tu l'emportes ;)

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Je viens de fini la voie du dragon, J'ai adoré Geder (mais non je ne suis pas un petit gros qui aime les livres) et ses mésaventures militaires et politiques. L'évolution de Cithrin est intéressante même si ça m'a fait penser à Ascension d'un prince marchand de Feist et sa relation avec Marcus m'a bien fait rire
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. Le livre souffre de quelques longueurs mais ce premier volume n'est qu'une grosse introduction a ce nouvel univers. Pour patienter en 2014 je vais lire les cités de lumière :)

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De mon côté j'ai achevé ce premier tome il y a deux semaines, et si je serai moins catégorique que Merwin sur le sujet, je n'en suis pour le moins pas vraiment convaincu. Je reste sur mon premier avis concernant l'écriture d'Abraham/Hanover que je trouve relativement mauvaise. Il m'a été difficile durant ma lecture de ressentir un grand plaisir devant des descriptions relativement mécaniques et des passages frisant parfois la naïveté.
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Autre point noir du livre, son début relativement mal dégrossi.
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Alors oui, c'était un prétexte pour que l'auteur fasse se rencontrer ses personnages et tisse leurs différents liens, mais au final cela tue le rythme dès le départ (rythme déjà pas folichon à ce moment là du récit), ce qui m'a personnellement freiné dans ma lecture.Force est cependant de reconnaitre que certains personnages sont relativement intéressants, de mon côté j'ai bien aimé Cithrin et son évolution, Il est aussi original d'avoir un noble très conservateur (comme l'explique bien Lucide) comme héros. Concernant l'avancée de l'histoire, celle-ci a connu un léger sursaut avec sa fin. Je parle non pas de la mini-résolution de la mini-intrigue de cour dont il m'a été difficile de voir un quelconque intérêt, mais bien des storylines de Geder, Cithrin (définitivement le personnage le plus intéressant du roman) et de l'épilogue.
Asavar a écrit dans sa chronique Nous voilà donc en présence ici du premier tome d’une série plus que prometteuse[...]
Moi j'aurais remplacé le "plus que" par "légèrement" ou "un peu" pour le moment :mrgreen:

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Je l'ai terminé il y a quelques jours et même si ce premier tome se révèle sympathique et agréable à découvrir je n'en ressors pas non plus complètement convaincu. Le tout s'est déjà révélé sans surprise, aucun des twists et autres rebondissements n'a réussi à me surprendre. Dommage.Il y a quand même de bonnes idées comme, déjà dit, les 13 races qui peuvent se révéler intéressantes. Je lirai le second tome pour voir comment évolue tout cela.

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Et j'ai mis ma critique en ligne. Voici un aperçu de ce que ça donne :
Avec ce premier volume d'une série annoncée en cinq tomes, il propose un univers de fantasy complexe, aux multiples races et espèces mais où l'humanoïde reste dominant.Il permet au lecteur d'aborder son monde riche et vaste par le biais de ses acteurs, les différents personnages qu'il met en avant et dont le destin va influer sur celle de l'univers entier. Qu'il s'agisse de Marcus, Cithrin ou Geder, chacun va, à son niveau, agir, provoquant ainsi de multiples réactions en chaînes mettant en danger l'équilibre des forces et favorisant ainsi "La Voie du Dragon". La voie de la guerre et de la destruction.Nous avons donc un panel de treize races humanoïdes, présentant de grosses différences physiques, vivant et commerçant les unes avec les autres. Mais une telle diversité n'exclut pas le racisme que l'on voit exacerbé chez certains, une bonne dose de raillerie, de l'indifférence et beaucoup d'animosité. En bref, peu importe l'espèce et l'époque, un être humain reste un être humain, toujours soumis aux plus bas instincts de l'espèce, méprisant son frère et écrasant ses parents pour tenter d'avoir sa place au soleil. Heureusement, l'auteur sait nuancer son univers, et les personnages qu'il suit, même pourvus de faiblesses, ne sont pas détestables pour autant. Quelques uns sont même auréolés d'un certain mystère qui fait que la suite mérite d'être lue. [...]
[small]Suite et fin de la chronique sur le site Biblioblog.fr[/small]
"Il n'existe rien au-dessus du métier de bibliothécaire" Terry Pratchett