Lecture finie. Et on se retrouve avec plus de questions à la fin du livre qu'au début. Je hais Brandon Sanderson. :PLa principale critique que j'émettrais envers ce livre, c'est sa taille. J'ai lu la version Gollancz en deux tomes, et autant j'adore les pavés, autant celui-ci m'a paru un peu longuet. La présentation de l'histoire et des personnages sur 1100 pages, pfiou... Attention, je ne dis pas qu'il ne se passe rien, bien loin de la. Les 300 dernières pages sont même particulièrement riches en rebondissements, et comme je disais plus haut, les questions s'accumulent,
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notamment en ce qui concerne Shallan, le roi de Kharbranth, les parshmen/Voidbringers et les pouvoirs de Kaladin
. Mais avant d'en arriver là, ça traîne un brin en longueur. Les passages de
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l'entraînement des bridgemen par Kaladin,
notamment, auraient mérité d'être plus courts.Mais à part cette critique, ça reste du bon Sanderson comme on les aime. Le monde est particulièrement original, AMHA, au niveau de la géographie, de la religion, du type de magie et des phénomènes météo bien tordus. J'en vraiment hâte d'en savoir plus quant à l'histoire.The Way Of Kings, c'est aussi une preuve supplémentaire de ce que je me dis depuis Elantris : Sanderson a un don pour les personnages féminins. À côté de Shallan, Jasnah et Navani qui crèvent l'écran (enfin, les pages, quoi...), Kaladin et les autres hommes m'ont paru presque fade. Et puis cette idée que seules les femmes apprennent à lire et à écrire, et ont par conséquent des rôles très importants dans la société, je trouve ça extrêmement intéressant.Un dernier mot sur l'objet livre : j'ai rarement vu un livre aussi léché.

Les illustrations, les en-têtes de chapitres... Whaouh, whaouh et encore whaouh. Et je n'ai que le "format B", c'est-à-dire entre le relié et le poche. Je n'imagine même pas ce que ces superbes illustrations doivent rendre en version reliée !