Posté : mar. 8 oct. 2013 14:46
Señor !Ethan Iktho a écrit :Senor, do you know where we're heading ? Lincoln County Road or Armageddon ? Seems like I've been down this way before... Is there any truth in that, Senor ?;)
Señor !Ethan Iktho a écrit :Senor, do you know where we're heading ? Lincoln County Road or Armageddon ? Seems like I've been down this way before... Is there any truth in that, Senor ?;)
Le problème, avec ce disque c'est bien ça : pas désagréable si on reste à la surface et qu'on ne s'attarde pas trop sur les lyrics... Sauf que bon, c'est Dylan...Vivement qu'on arrive au temps où il est revenu dans le camp des InfidèlesSardequin a écrit :Bon, que dire de ce disque ! J'avoue ma perplexité en démarrant ! Déjà, les textes... sans doute ce que Dylan a fait de moins bon ! Trop de prêchi-prêcha, trop de religiosité ! Dieu l'a sauvé et il va nous sauver également !Musicalement, rien d'indigne. Un poil trop de gospel, et les chœurs dans l'ensemble passent moins bien que sur Street Legal. Bref Dylan est en plein dans sa période religieuse. Pour autant, tout n'est pas à jeter dans ce disque ! Si on reste à la surface, il n'est pas désagréable. la chanson titre Saved est plutôt bien balancée (sans s'attarder aux textes bien sur). Pressing On est une bonne chanson. Convenant Woman également.
L'écriture des Kindertotenlieder, publiés en 1905, fit l'objet de tensions entre Gustav Mahler et Alma, qui aurait estimé que son époux provoquait le destin par cette écriture. Lorsque la première fille du couple, Anna-Maria, meurt de la scarlatine en 1907, Alma conçoit à l'égard de Mahler une rancune qu'elle exprimera plus tard : « Je puis bien comprendre que l'on publie de si terribles textes quand on n'a pas d'enfants, ou quand on a perdu des enfants. Mais je ne puis comprendre que l'on puisse chanter la mort d'enfants quand, une demi-heure auparavant, on a serré et embrassés les siens, gais et en santé. Je lui ai dit alors : « Pour l'amour de Dieu, tu peins le diable sur la muraille »