Elbakin.net

C'est beau quand un livre conquis un lecteur !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/le ... yaume-4190

J'y ai pris beaucoup de plaisir... A lire cette critique je précise :)Et la citation de fin est magique, tout simplement

De même que la phrase du jour !

Goodkind...Un homme admirable.Garder une telle constance dans le scénario (Quasiment à l'identique pour chacun des volumes), dans la psychologie des personnages (Richard, toujours là pour vous apprendre comment vous comporter), dans le style (si travaillé!), tout en instillant subtilement un message politique léger et délicat (un bon communiste est un communiste mort. Un bon démocrate est un démocrate mort. Un bon...) et parvenir à vendre des quantités invraisemblables de volumes... (Qui trônent dans ma bibliothèque en partie car une connaissance, appréciant l'auteur, a cru que j'adorais cela et je n'ai jamais réellement eu le cœur à la détromper.) ...cela force en quelque sorte le respect. Ou pas.

Gilthanas a écrit :De même que la phrase du jour !

C'est moi ou cette phrase a franchement quelque chose de bizarre ?Pourquoi est-ce que je pose la question au fait ?

K. a écrit :Qui trônent dans ma bibliothèque en partie car une connaissance, appréciant l'auteur, a cru que j'adorais cela et je n'ai jamais réellement eu le cœur à la détromper.

C'était peu être volontaire

J'ai parlé de ce tome avec mon oncle qui est un fan de la série et il m'a dit qu'il avait trouvé ça nul et que du coup ça lui gachait l'image qu'il avait de la série. Et ça vient d'un fan qui a adoré les 12 autres tomes et la préquelle. Mais voila c'était son premier gros cycle, depuis il a découvert Hobb, Sanderson, Martin...

Goodkind, en revenant de son échec dans le thriller, risque de peiner le lectorat (son opportunisme est désormais manifeste). Je n'ai pas lu le cycle en son entier (j'ai stoppé au tome 6); toutefois je me demande pourquoi Elbakin juge opportun de poursuivre la recension, quand rien ne l'y oblige, et surtout quand d'autres ouvrages mériteraient une mise en avant.

Je suis 100% d'accord sur le côté délayé... J'avais des envies de rayer de nombreux passages surtout avec les tomes 11 et 12. Bon quand on a pas lu un livre depuis longtemps cela permet de se souvenir de certaines choses. Mais redire plusieurs fois la même chose dans le même volume, c'est pisser des lignes... Sérieusement, j'ai lu le tome 12 plus par désoeuvrement qu'autre chose et je crois que je vais m'en arrêter là. Je suis indulgente mais j'ai mes limites !

Je me suis aussi posé la question et la seule réponse cohérente que j'ai trouvée est : informer des lecteurs qui ont bien avancé dans le cycle (un peu comme moi 8 lus/13 parus). Cela leur permet de savoir comment le cycle évolue. Je lirais peut être ce 13ème tome pour avoir la suite et fin de l'histoire ... Ou pas, mais au moins je connais l'avis de Gillossen, qui j'en suis sur, se veut objectif. Donc en parler ici, je trouve ça légitime. Ne serait-ce que pour comprendre pourquoi ce cycle a eu autant de succès. C'est une belle énigme. Et en écrivant ce message, j'ai pensé à une piste (je suis certain que cela a déjà été souligné) : Un homme inconnu avec un pouvoir qu'il ne connaît pas encore mais qu'il va découvrir + un vieux mentor qui était là depuis le début + une femme au grand pouvoir qui est connue de tous + un grand méchant + une galaxie à sauver = succès = Star Wars. En fait la recette qui marche c'est de faire du Star Wars !!! ... Noooon .... Les siths/mord-siths = les gardes de l'empereur. Plus j'y pense et plus je vois un gros plagiat. Et quand on pense à SW, on pense a Dune ... Mais je m'égare. Par contre, c'est vrai que d'en parler a chaque podcast, ça fait perdre un temps précieux qui pourrait être utilisé pour présenter d'autres œuvres plus intéressantes.

Je ne crois pas que les recensions de Gillossen visent à "aider" le lecteur fidèle. La question du succès du cycle est intéressante, seulement ici il n'est point l'objet d'un débat, il fonctionne comme un repoussoir. Dès lors, même en acceptant que beaucoup y trouvent un intérêt (de démarcation), à quoi bon poursuivre la recension ? J'ai personnellement trouvé du plaisir dans les premiers tomes, et j'ai vu assez vite que l'auteur tentait une approche commerciale. Est-il le seul ? Le pire ? Son orientation politique, me semble-t-il, y joue un certain rôle. Est-ce un critère affiché de jugement ? Je n'ai pas besoin de détester Goodkind pour apprécier Bakker (et Dieu saît qu'ils optent pour des positions antagonistes).

Rckep a écrit :J'ai parlé de ce tome avec mon oncle qui est un fan de la série et il m'a dit qu'il avait trouvé ça nul et que du coup ça lui gachait l'image qu'il avait de la série. Et ça vient d'un fan qui a adoré les 12 autres tomes et la préquelle. Mais voila c'était son premier gros cycle, depuis il a découvert Hobb, Sanderson, Martin...

Trouver nul un bouquin qui sort le 31, pas mal quand même...

En même temps, l'avoir lu en anglais est le plus vraisemblable Gilthanas puisqu'il est dispo depuis la fin août

Nakor a écrit :Je ne crois pas que les recensions de Gillossen visent à "aider" le lecteur fidèle.

Par définition, le fidèle ne lit pas la critique, il a déjà décidé de lire.

La question du succès du cycle est intéressante, seulement ici il n'est point l'objet d'un débat, il fonctionne comme un repoussoir. Dès lors, même en acceptant que beaucoup y trouvent un intérêt (de démarcation), à quoi bon poursuivre la recension ?

La ligne éditoriale d'Elbakin.net décide ce qu'elle juge opportun de chroniquer : certaines séries ont été stoppées parce que l'intérêt ne suivait plus, et le public n'en demandait pas non plus.Mais si un rédacteur se dévoue pour offrir une vision d'ensemble et suivie, il le fait, tant qu'il y voit une raison.Et la raison peut être d'anticiper la question "pourquoi vous n'en avez pas parlé, vous en pensez quoi ?".

C'est moi ou cette phrase a franchement quelque chose de bizarre ?

Elle est clairement mal foutue, mais c'était surtout un clin d’œil aux poulets maléfiques du 5 avec cette histoire de poulailler. ;)J'aurais pu aussi choisir un passage où il est question de tuer des morts ou quand Richard secoue comme un prunier une gamine pour... la calmer. Bref. @ Nakor : tu as posé exactement la même question lors de la sortie du tome précédent. Je vais donc te répondre de nouveau, même si je n'aurais pas grand-chose à ajouter.

Dès lors, même en acceptant que beaucoup y trouvent un intérêt (de démarcation), à quoi bon poursuivre la recension ?

Tout simplement parce que je n'ai jamais été un adepte du "On n'aime pas, on n'en parle pas" et que je trouve ça trop "facile" comme attitude. Pour le reste, ça m'a occupé à peine une soirée de lecture...

et surtout quand d'autres ouvrages mériteraient une mise en avant.

Le site doit tourner à une chronique tous les deux jours de moyenne. Même en imaginant mettre en ligne une chronique par jour 7 jours sur 7, 365 jours par an, il y aurait toujours "d'autres ouvrages" qui passeraient entre les mailles. Mais rien ne t'empêche d'ouvrir un sujet en forum si tu veux mettre en avant certains titres.

Il faut encourager GoodkindIl faut encourager GillossenAinsi l'un continuera à cracher de la ligne, l'autre à évaluer les crachatset nous atteindrons la note collector de 0/10

Councilman Yoda a écrit :Il faut encourager GoodkindIl faut encourager GillossenAinsi l'un continuera à cracher de la ligne, l'autre à évaluer les crachatset nous atteindrons la note collector de 0/10

Les Schtroumpfs sont sympa, le 0 n'existe pas dans notre outil de critiques. La note la plus basse est 0,5.

Il faut bien noter le courage... de l'éditeur.

Gilthanas a écrit :

Rckep a écrit :J'ai parlé de ce tome avec mon oncle qui est un fan de la série et il m'a dit qu'il avait trouvé ça nul et que du coup ça lui gachait l'image qu'il avait de la série. Et ça vient d'un fan qui a adoré les 12 autres tomes et la préquelle. Mais voila c'était son premier gros cycle, depuis il a découvert Hobb, Sanderson, Martin...

Trouver nul un bouquin qui sort le 31, pas mal quand même...

Euh... La VO est sortie le 20 août...

Yksin a écrit :Il faut bien noter le courage... de l'éditeur.

Vu l'argent que Goodkind ramène dans les caisses, mouais.