Posté : ven. 22 mars 2013 16:56
Non non! Retournons le couteau dans la plaie! Et ajoutons du citron si c'est à vif! *okjmepend*Remet toi de cette épreuve Gillo x)
pffff il est clair que le monsieur n'arrive pas à se renouveler...et toujours cette fascination pour le viol...
Ce que tu appelles masochisme, j'appelle ça dévotion à la communautéthorin a écrit :En tout cas chapeau bas pour avoir lu goodkind jusque là.Je remarque que le masochisme peut même se retrouver chez le lecteur en plus que chez l'auteur.
Après Saint Seiya, Saint Gillo! Le chevalier d'or de la lecture! xDDDYksin a écrit :Pareil, grâce à Gillossen je ne me suis jamais lancé dans la lecture des écrits de Goodkind.Comme quoi, il existe toujours des saints hommes sur terre...
Le style n'est peut-être pas lourd à proprement parler mais très banal et tout de même bien naïf dans la façon dont l'auteur dépeint la psychologie de ses personnages, non ? :)Maintenant, tu noteras que je n'ai jamais dit me concernant que l'intrigue n'avançait pas. C'est d'ailleurs en général le point fort de Goodkind sans doute. Mais si l'intrigue principale avance, c'est à coups de tunnels de dialogue, encore et encore. On parle quand même d'un auteur qui a + de 10 romans derrière lui maintenant et qui reprend toujours les mêmes schémas.Pas de style particulièrement lourd, l'intrigue avance bien même si on a des doutes relativement tôt quant a l'identité des grands méchants.
Sauf que ce n'est pas le souci ici.Je rappelle au passage que dans un univers médiéval fantastique ça reste réaliste que les femmes se fassent abuser et les hommes tabasser, surtout pendant d'éventuelle séance de torture...
Ça, c'est sûr, comme du Marc Lévy. Alors, on va me dire que Marc Lévy permet à des gens qui ne lisent jamais de découvrir la lecture, mais franchement, j'ai des doutes...Finalement, je trouve que c'est un roman tout à fait accessible à un large public.
J'ai envie de dire malheureusement. Je comprends qu'un éditeur, et un libraire, aient besoin de locomotives pour publier/vendre des titres plus exigeants derrière, mais si l'image de la fantasy auprès du grand public, c'est Bilbo au cinéma et Goodkind en librairie, le chemin est encore long.C'est peut-être pas le roman de l'année mais c'est un titre facile à conseiller.
De toute façon, on n'a jamais prétendu détenir la science infuse.mais je regarderai d'un oeil plus critique les notes attribuées.
Le style n'est peut-être pas lourd à proprement parler mais très banal et tout de même bien naïf dans la façon dont l'auteur dépeint la psychologie de ses personnages, non ?
Je peux tout à fait comprendre ton point de vue. Ce qui m'"offusquait" surtout c'est que sans faire du neuf, en gardant des personnages prévisibles mais relativement attachant et sans que ce soit non plus pénible à lire , tu ne lui accorde que 2/10 soit une note vraiment misérable.pour rappel une "daube" comme "Bingo le posstit" 4/10 donc presque le minimum requis (je dirais 5/10) pour être lisible.C'est bien la récurrence que je pointe du doigt.
Mais sinon je suis tout à fait d'accord il y a bien mieux.une idée du niveau de l’humour il faut bien avouer que le tout tombe à plat plus souvent qu’à son tourles notes de bas de page… Ah, ces notes ! Elles sont le plus souvent un véritable calvaire...Pour toucher au sommet de la fantasy, ou de l’humour, il faudra repasser, car ce n’est pas cet ouvrage qui aura de quoi satisfaire les amateurs de l’un ou de l’autre.