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Tant mieux, vu que je sens qu'il va me tomber dessus à bras raccourcis dès qu'il reviendra sur le forum...Pour le reste, je préfère ne pas prévenir Gillo de ton message tant qu'il n'a pas rendu le tome 2. tongue
Je suppose que c'est le côté aventure maritime qui a fait que Zedd a comparé Le Livre des Abysses à One Piece en particulier, mais effectivement la comparaison avec le manga tendance shonen est bien vue :- scénario ultraclassique, univers minimaliste (juste ce qu'il faut pour donner un cadre aux aventures des personnages) - intrigue centrée sur un groupe d'(anti)héros bad-ass et leurs combats répétitifs / interminables- des méchants verbeux de plus en plus puissants, méchants et terrifiants... grosbills quoi !(ce qui n'est pas forcément des défauts rédhibitoires en fonction du format choisi)Autre remarque, je ne sais pas si c'est une erreur d'édition mais la dernière page avec son gros blanc initial est incompréhensible...Enfin, Lenk,Zedd a écrit :Oui, One piece, et le manga en général. Dans la gestion des retournements de situations, dans la façon dont les héros, sous leur aspect de minables accomplis, se révèlent en fait « super forts », dans la construction de ces dialogues qui n’en finissent plus, tout cela m’évoquait le manga. Des combats épiques interminables (le premier fait plus de 200 pages !) aux méchants qui dévoilent leur plan diabolique alors qu’ils sont sur le point de tuer le gentil, en passant par les aventuriers qui ne sont ensemble parce que sinon ils seraient seuls, ou aux DIALOGUES EN CAPITALES, tout coïncidait à me rappeler le manga de Eiichiro Oda. De la fantasy écrite selon les codes du manga, il faut le lire pour le croire !
The triumphant conclusion to one of the most exciting and original fantasy trilogies of recent yearsAfter the misadventures of the first two books Lenk and his companions must finally turn away from fighting each other and for their own survival and look to saving the entire human race.A terrible demon has risen from beneath the sea and where it came from thousands could follow. And all the while an alien race is planning the extinction of humanity.The third volume in the Aeon's Gate trilogy widens the action out dramatically. TOME OF THE UNDERGATES was based mainly on a ship, BLACK HALO moved the action to an island of bones, THE SKYBOUND SEA takes us out into a world threatened with a uniquely imagined and terrifying apocalypse.
A titre personnel et en toute objectivité,Je suis pas fan des descriptions à rallonge mais là il n’y a quasiment pas description du tout… remplacées par un sens du verbe savoureux certes (qui ne devait pas du tout être facile à transposer dans la langue de Molière, donc bravo au traducteur) mais qui au bout de quelques centaines de pages finit par devenir lassant sinon soulant.
Euh, rien que dans le tome 1, tu as donc tout ce qui touche aux ordres (religieux), aux Eons, auxparce que justement il n’existe absolument pas d’univers au-delà de la bulle de réalité formée par le groupe d’aventuriers)
Tout de même, quand on lit le roman, on s'aperçoit qu'il n'est pas tant question de "haine" que d'antagonismes, de mépris, etc, etc... Mais de haine au point d'en arriver à se battre physiquement, ça reste rare.mais en plus ils se « haïssent » tellement les uns les autres qu’on a peine à croire qu’ils ont survécu à 1 an de cohabitation...
Ça, c'est sûr, la deuxième moitié est plus rythmée.moins de dialogues sarcastiques, des aventuriers qui se mettent un peu moins de bâton dans les roues, davantage de descriptions, un scénario qui s’étoffe, des personnages qui se dévoilent un peu plus…
Plus que chez Brent Weeks ?C’est absolument anecdotique, mais j’ai aussi trouvé un des défauts récurrents de la BCF, à savoir la présence de trucs qui n’ont rien à faire dans un univers qui se veut médiéval : café, brandy, whisky, rhum…
J'avoue que j'aimerais bien voir► Afficher le texte
Quelques diamants issus de la 'fange', et quantités de zircons, pâles imitations, en circulation parce qu'ils sont plus faciles à produire et à écouler dans le monde de la Fantasy... C'est sûrement une réalité. Je me soucie peu en général de partager mes goûts en matière de livres, sachant que la pour la plupart des gens lire de la Fantasy rime ou pas avec adolescence attardée et gros monstres.Et je remercie Elbakin d'offrir son écrin à autant de pierres dégrossies parmi lesquelles j'ai trouvé des merveilles.Gillossen a écrit :Je trouve qu'il tient vraiment un discours intéressant, sur lui, comme sur la fantasy en général. Voir ici, tout dernièrement : http://samsykes.com/2012/03/heaping-bon ... -of-kings/
Honteux, c'est vrai !Mais tu seras parmi les premiers à savoir...Apparemment, il commence à peine à reprendre son tome 3 avec son éditeur.Et pour le moment, il n'a rien voulu me dire, c'est honteux !
Et le tome 2 arrive en juin on dirait !Sam SykesFew things compare to reading through your editor's notes on your manuscript and seeing 'fucking amazing' written by him on it.
Et je n’ai pas adhéré à son parti pris. Je me suis pas immergé dans le récit, en partie à cause du manque d’ambiance lui-même en partie du au manque de descriptions. Mais tu as raison, cela se décante plutôt assez bien dans le dernier tiers : là c’était nettement mieux !Concernant la consistance du monde décrit, additionner 1 manuel des joueurs, 1 manuel des monstres, 1 sourcebook sur les cultes religieux et 1 sourcebook sur les entités d’outre-monde, cela ne fait pas un univers dans lequel on s’immerge avec plaisir (en tout cas c’est mon ressenti). De la même manière Shictes et Dragoniens m'ont renvoyé à de vieux souvenirs de AD&D époque TSR.Mais qui sait, cela ne qu’à prendre de l’ampleur et cela pourrait éventuellement être prometteur…A titre personnel et en toute objectivité, je trouve que celles présentes, comme la description de la Marée de Fer, sont vraiment bien tournées (en VO, je ne parle pas de la VF). De toute façon, l'auteur ne mise pas sur un univers touffu, cf interview page 2 ou 3 du sujet. Ce qui n'empêche pas qu'on adhère ou pas bien sûr. Mais c'est son parti pris.
Parce qu’il y a très souvent quelqu’un qui s’interpose entre les pugilistes ou qu’un événement extérieur vient interrompre les rixes !Tout de même, quand on lit le roman, on s'aperçoit qu'il n'est pas tant question de "haine" que d'antagonismes, de mépris, etc, etc... Mais de haine au point d'en arriver à se battre physiquement, ça reste rare.
J’ai suffisamment râlé contre le vocabulaire en contradiction avec l’univers développé dans tel ou tel sujet consacré à Brent Weeks…Plus que chez Brent Weeks ?C’est absolument anecdotique, mais j’ai aussi trouvé un des défauts récurrents de la BCF, à savoir la présence de trucs qui n’ont rien à faire dans un univers qui se veut médiéval : café, brandy, whisky, rhum…
Effectivement puisqu’on parle de piraterie et de contrebande, c’est pas dans Le Livre de Abysses que l’usage de ces mots m’a le plus fait tiqué. Mais cela reste un défaut récurrent qu’on retrouve dans de nombreux titres fantasy et je pestais plus contre cette récurrence en général que dans sa présence dans le livre de Sam Sykes en particulier.Si mes ressentis ont été globalement négatifs, je n’ai pas totalement tout détesté non plus : il y a aussi des trucs que j’ai bien aimés !Je pourrais résumer ainsi :- 1er tiers initialement emballant mais qui n’en finit plusTu avais déjà assez dit de trucs négatifs sur le roman pour éviter de placer ça dans ce sujet précis, non ?
C'est bien sûr ton droit.Et je n’ai pas adhéré à son parti pris.
Je t'avoue que j'ai plus le tome 2 en tête maintenant que le premier, mais comme ça, je me souviens de la "dispute" entre Asper et Gariath sur la page sans aucune interruption extérieure. Après, ça se discute, c'est sûr. Sinon, Herbefol, depuis le temps que tu n'as pas posté d'avis de lecture ici, je suis un peu "surpris" de te voir poster dans ce sujet précis.Parce qu’il y a très souvent quelqu’un qui s’interpose entre les pugilistes ou qu’un événement extérieur vient interrompre les rixes !
Le deuxième tome n'a pas vraiment la même ambiance - ce n'est pas moi qui le dis, mais par exemple kalliste page précédente ou la page encore d'avant. Bizarrement, le tome 2 n'est pas plus court, est moins porté sur l'action, mais se révèle moins verbeux. Maintenant, chacun ses priorités de lecture, encore une fois.Bref, si c'est pour se taper à nouveau plus de cinq cents pages qui auraient tenu en à peine trois cents, le volume deux pourra se passer de moi.
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