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pourrait trouver sa place sur un sujet les femmes remisées à la fantasy en bikini ?

Je n'ai pas tout lu en ce qui concerne ce sujet, mais c'est vrai que récemment en allant dans plusieurs librairies, j'ai pu constater qu'il y avait x livres ayant pour couverture un ou plusieurs personnage(s) en capuche (rayon fantasy).De nos jours, la capuche est à un homme discret ce qu'un chapeau pointu était à un magicien auparavant, enfin c'est comme ça que je vois les choses.Après je dois dire que, par exemple, je n'y connais rien à assassin's creed, mais la capuche est une manière de rendre les personnages à la fois "classes", sombres, mystérieux, mais surtout discrets, comme les rôdeurs du SDA (ce qui me paraît crédible, plus qu'une simple "mode"). Tout ne vient pas forcément de Tolkien, mais ça se rejoint un peu.

Bon, celle-là arrache et le bouquin me tente bien d'ailleurs, mais ENCORE une capuche.

Punaise, c'est vrai que ça c'est de la couv!Pour le coup, rien à redire à la capuche je trouve car il y a une certaine sobriété/débraillement dans la tenue (on ne se dit pas un truc du genre: "mais mon gars, ta tenue est tellement esthétisée que la capuche te rend encore plus visible!" )

Ah ouais la couv' est nickel, il aurait juste fallu à la place du fourreau une traînée de sang et là plus badass tu meurs !

Bald a écrit :Punaise, c'est vrai que ça c'est de la couv!Pour le coup, rien à redire à la capuche je trouve car il y a une certaine sobriété/débraillement dans la tenue (on ne se dit pas un truc du genre: "mais mon gars, ta tenue est tellement esthétisée que la capuche te rend encore plus visible!" )

Comme dans Assassin's Creed quoi x)

C'est qui Peter Newman ?

Un nez crie vin

Un nouvel auteur, The Vagrant est son premier roman. The Malice devrait être la suite.Vu le synopsis, c'est à mi chemin entre la SF et la fantasy.

Merwin Tonnel a écrit :Un nouvel auteur, The Vagrant est son premier roman. The Malice devrait être la suite.Vu le synopsis, c'est à mi chemin entre la SF et la fantasy.

Merci pour la réponse, l'intérêt de ma question était de savoir ce qu'il valait et de ne pas tomber dans le piège de la couverture, mais bon si il débute...

Il y a un peu de remous autour de The Vagrant sur différents forums anglophones, du genre "nouvelle sensation" blablabla, mais pour le moment, ça semble plus être du bruit marketing qu'autre chose, puisque son éditeur semble bien décidé à faire passer ça pour la révélation de l'année. On verra bien.

A force, je commence à me méfier des révélations de l'année... c'est souvent décevant

Vous avez remarqué que même le bébé a une capuche?

C'est pas un bonnet ?:D

Moi j'y vois une capuche, ou une cagoule, à la limite... Mais point de bonnet!

Juste pour dire que j'ai déjà récupéré une capuche dans Pillars of Eternity.

Ne sachant trop où l'annoncer... http://www.elbakin.net/fantasy/roman/bl ... ogues-4668

Un_nain_capable a écrit :Je n'ai pas tout lu en ce qui concerne ce sujet, mais c'est vrai que récemment en allant dans plusieurs librairies, j'ai pu constater qu'il y avait x livres ayant pour couverture un ou plusieurs personnage(s) en capuche (rayon fantasy).De nos jours, la capuche est à un homme discret ce qu'un chapeau pointu était à un magicien auparavant, enfin c'est comme ça que je vois les choses.Après je dois dire que, par exemple, je n'y connais rien à assassin's creed, mais la capuche est une manière de rendre les personnages à la fois "classes", sombres, mystérieux, mais surtout discrets, comme les rôdeurs du SDA (ce qui me paraît crédible, plus qu'une simple "mode"). Tout ne vient pas forcément de Tolkien, mais ça se rejoint un peu.

Cela évite également de devoir dessiner un visage, dans un souci d'anonymiser le personnage : le lecteur peut lui imaginer la tête de n'importe qui, ce qui doit faciliter, le cas échéant, l'identification du lecteur au personnage principale.

Strannik a écrit :Cela évite également de devoir dessiner un visage, dans un souci d'anonymiser le personnage : le lecteur peut lui imaginer la tête de n'importe qui, ce qui doit faciliter, le cas échéant, l'identification du lecteur au personnage principale.

Aussi.

Mais sinon c'est un bon recueil.