Et si Bilbo n'était pas tourné en N-Z...

En Australie, c'est à côté
Nombre total de votes : 1 (3%)
En Irlande
Nombre total de votes : 13 (36%)
En Ecosse
Nombre total de votes : 5 (14%)
Au Canada
Nombre total de votes : 2 (6%)
En "Europe de l'Est"
Nombre total de votes : 3 (8%)
Et pourquoi pas en France, à côté de chez moi ? ;-)
Nombre total de votes : 12 (33%)
Nombre total de votes : 36

102
Bah moi j'ai voté pour l’Écosse parce que j'ai l'impression que le climat se prêterait bien à ce type d'exercice... Mais après, j'y suis jamais allé !L'Irlande aussi aurait été un bon choix

103
Oui j'ai voté Ecosse aussi, mais Irlande pourquoi pas ^^ je ne suis allée dans aucun des deux pays hélas!Bon sinon pour les scènes additionnelles, le fait qu'elles soient tournées parfois si longtemps après la sortie des films, me faisait penser aussi à une sorte de "réajustement", par exemple s'ils se sont aperçus que tel personnage était au final très apprécié des fans et qu'ils le trouvaient plus important que prévu dans l'histoire, eh bien ils vont se dire "tournons ces scènes additionnelles avec ce personnage pour mieux le développer".Je ne parle pas de "choix du public" mais de PJ et son staff qui s'apercevraient aussi qu'ils veulent mieux développer tel ou tel passage ou personnage.

104
Sylvadoc a écrit :
SMCSEB a écrit :Ça m'étonne qu'on demande autant aux acteurs, voilà tout !!
Ne t'inquiètes pas pour eux, ils sont payés pour ça ;)
Certes mais bon ils ont comme même une carrière, une vie, des obligations à côté. Et puis, ils gagneraient plus en faisant 2 tournages au lieu d'1 seul plus gros ...Sinon, j'ai voté pour la France car après réflexion, c'est tout simplement le paysage qui me paraît le plus adapté : des montagnes mais aussi des étendus de verdure avec peu de brouillard et de plus.Australie : trop chaud et c'est le désertÉcosse et Irlande : trop de pluie, brouillard et pas assez de montagnesCanada : trop froid et trop de neigeEurope de l'Est : pas assez de montagnes

105
Je te rassure encore une fois mais ils ne restent pas sur place hein. Ils reviennent en Nouvelle-Zélande deux semaines pour tourner les deux minutes qu'il faut. C'est justement pour leur carrière et leurs obligations qu'ils reviennent ;) Je ne vois pas où est le problème. Quand ton patron te demande de retourner chez le client parce qu'il y a un nouveau truc à faire, c'est ton job ^^

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L'Etat souverain a changé ses lois, au profit principal d'une entreprise étrangère bénéficiant par ailleurs de subventions, vrai ?La nuance ne porte peut-être que sur le fait de savoir si c'est le gouvernement NZ qui a voulu se montrer plus "accueillant" ou si c'est le studio qui a fait juste un peu de pression sur la possibilité de changer d'air, sauf si...

110
Les Jackson One ne peuvent pas tout faire.Si les retombées à succès du SdA ont ouvert l'appétit des néo-zélandais, cela peut faire courir le risque à l'industrie locale de compter perpétuellement sur une manne de cet ordre et de chercher à se dégager des marges supplémentaires alors que la concurrence étrangère fait rage, ne serait-ce qu'en Australie.Or les films susceptibles d'être tournés en Kiwiland par d'autres que PJ ont moins de chances de rencontrer le même succès, autrement dit en ayant des tarifs trop élevés l'industrie cinématographique de Nouvelle-Zélande se rendrait totalement Jackson-dépendante car peu d'autres réalisateurs iront courir le risque d'aller aux Antipodes si c'est trop cher.Le cinéma mondial prêt à s'intéresser aux potentialités de l'Hémisphère Sud pourrait effectivement détourner ses yeux de la Nouvelle-Zélande au bénéfice des yeux doux des Nouvelles-Galles du Sud. Si ce raisonnement est le bon, cela veut dire que le gouvernement néo-zélandais a pris en considération l'intérêt à long terme de ses capacités de production sur sol. Les autres pistes, corruption ou autres, ne sont pas forcément plus vraisemblables.L'intérêt que Wingnut Films a pu plaider dans l'histoire, c'est de pouvoir ainsi compter sur des opérateurs néo-zélandais aptes, entre deux 'tournages PJ', à maintenir leur niveau de performance en se frottant au marché mondial sans s'auto-pénaliser, autrement dit se condamner au chômage, par des exigences sociales et salariales qui les excluraient du marché mondial. En d'autres termes les néo-zélandais pourraient être tentés de se reposer sur leurs lauriers, mais ce serait suicidaire quand on voit ce dont est capable un Ang Lee (l'Odyssée de Pi) hors de Nouvelle-Zélande.