http://www.elbakin.net/fantasy/news/26087-Une-nouvelle-trilogie-fantasy-pour-Daniel-Abraham
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Quelle belle couverture!
Ca me donne envie de me pencher sur cet auteur. J'étais complètement passée à côté de ces séries.
Ca me donne envie de me pencher sur cet auteur. J'étais complètement passée à côté de ces séries.
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
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Bon, j'y allais avec beaucoup d'espoir, mais à 15 % du bouquin, j'ai décidé de reposer le bouquin pour le moment. J'y retrouve un peu les mêmes défauts que dans The Dragon's Path, notamment un univers complètement sans âme. La plume d'Abraham est loin d'être mauvaise mais l'auteur a vraiment un souci au niveau de ses descriptions : elles ne dégagent rien du tout, dressent rarement un décor complet (il y a des scènes de Age of Ash où je ne comprenais même pas où j'étais, en intérieur ou en extérieur) et au final les scènes ne prennent jamais vie.
Très déçu aussi par les personnages sans dimension. Je n'ai ressenti aucune compassion pour Alys parce qu'à aucun moment on est réellement dans sa tête, on a plus l'impression de suivre un pantin qu'une protagoniste vraiment incarnée.
Enfin, il y a quelque chose qui m'a gêné sur le déroulement de l'histoire mais sur lequel je n'ai pas réussi à vraiment mettre le doigt. Les scènes ont l'air de s'enchaîner sans trop de transition, ce qui donne un déroulé de l'intrigue un peu haché, où on saute d'une scène à l'autre sans plus d'introduction. Comme si l'auteur avait oublié de poser son univers et ses personnages avant de présenter son histoire.
J'ai cherché plusieurs fois le déclic, parce que c'est typiquement le genre de récit que j'apprécie bien, mais ça n'a pas pris.
On verra si je retente l'expérience plus tard, mais pour le moment il fallait que je prenne un autre bouquin.
J'ai comme l'impression que le premier tome de The Long Price Quartet que j'avais récupéré gratuitement va prendre un peu la poussière numérique.
Très déçu aussi par les personnages sans dimension. Je n'ai ressenti aucune compassion pour Alys parce qu'à aucun moment on est réellement dans sa tête, on a plus l'impression de suivre un pantin qu'une protagoniste vraiment incarnée.
Enfin, il y a quelque chose qui m'a gêné sur le déroulement de l'histoire mais sur lequel je n'ai pas réussi à vraiment mettre le doigt. Les scènes ont l'air de s'enchaîner sans trop de transition, ce qui donne un déroulé de l'intrigue un peu haché, où on saute d'une scène à l'autre sans plus d'introduction. Comme si l'auteur avait oublié de poser son univers et ses personnages avant de présenter son histoire.
J'ai cherché plusieurs fois le déclic, parce que c'est typiquement le genre de récit que j'apprécie bien, mais ça n'a pas pris.
On verra si je retente l'expérience plus tard, mais pour le moment il fallait que je prenne un autre bouquin.
J'ai comme l'impression que le premier tome de The Long Price Quartet que j'avais récupéré gratuitement va prendre un peu la poussière numérique.
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Merwin Tonnel a écrit :Très déçu aussi par les personnages sans dimension. Je n'ai ressenti aucune compassion pour Alys parce qu'à aucun moment on est réellement dans sa tête, on a plus l'impression de suivre un pantin qu'une protagoniste vraiment incarnée.
Enfin, il y a quelque chose qui m'a gêné sur le déroulement de l'histoire mais sur lequel je n'ai pas réussi à vraiment mettre le doigt. Les scènes ont l'air de s'enchaîner sans trop de transition, ce qui donne un déroulé de l'intrigue un peu haché, où on saute d'une scène à l'autre sans plus d'introduction. Comme si l'auteur avait oublié de poser son univers et ses personnages avant de présenter son histoire.
C'est exactement le souvenir que j'ai du 1er tome de La dague et la fortune. Les personnages souffraient déjà d'un cruel manque de chair, ce qui rendait l'empathie difficile à leur égard.
Et de mémoire certaines transitions étaient vraiment abruptes, au point que cela finissait par devenir génant pour le déroulé de l'histoire. Je pense notamment à un personnage (Geder) qui en l'espace d'une ellipse passait de
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Bref, Daniel Abraham, not for me encore une fois
Merc