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Histoire d'entretenir un vague espoir.
:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/har ... rry-Potter

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Je me demande si JKR ne nous fait pas une petite crise de peur de l’oubli avec la sortie du dernier film.Elle lance un site soir disant révolutionnaire pour essayer de relancer son fandom, elle fait des interviews à la chaîne (bon en même temps le dernier film sort mercredi...) et maintenant la petite phrase énigmatique que les fans vont surement commenter sur des pages et des pages de forum.Je ne sais pas ce que JKR peut donner dans l'écriture d'autre chose que HP mais j’espère qu'elle ne sera pas obligé de s’enfermer dans HP pour gouter au succès à nouveau.
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Bien que situé en "Jeunesse'", ce sujet me semble le plus indiqué pour annoncer ma news. Si ce n'est pas le cas, je présente mes excuses aux modérateurs qui devront bouger mon annonce dans un lieu plus adapté ;)Donc, Rowling prévoit un livre pour adultes
http://www.elbakin.net/fantasy/news/163 ... ur-adultes

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D'après mes sources (brèves sur livreshebdo.fr), JK Rowling aurait dit que ce roman serait "très différent" d'Harry Potter. Je cite un passage de cette brève : « La liberté d’explorer de nouveaux territoires est un cadeau que je dois au succès de Harry Potter, et pour ce nouveau territoire, il m’a paru logique d’avoir un nouvel éditeur ».
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Merci Aslan pour le message ! L'encyclopédie je savais qu'elle l'a ferait et on savait déjà sur quoi, Harry Potter ! mais la trame de son nouveau roman est décevant.
J'ai cru un moment en lisant "petite ville anglaise" qu'il aurait pu s’agir d'un bouquin à la "Agatha Christie" et d'une autre époque, mais en lisant la suite j'ai perdu tout espoir, déjà que ce n'est même pas de la fantasy. Oh Seigneur !
pourvu que ce ne soit pas comme Atanaheim a dit : Desperate Housewives en Angleterre?


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BiblioObs a écrit :Ça y est. On le sait, le premier roman pour adultes de JK Rowling s’appellera «Une place à prendre» («The Casual vacancy» en anglais), et il fera sa grande première dans le monde entier le 27 septembre. En France, les éditions Grasset se frottent les mains d’avance à l’idée de publier ce livre. Olivier Nora, leur PDG, s’est dit «enthousiaste à l'idée d'accueillir chez Grasset un auteur qui va révéler avec ce roman une nouvelle veine de son talent.»L’auteur, de son côté, le présente ici comme le symbole d’une «nouvelle page de sa vie d’écrivain». «Une place à prendre» s’annonce, selon elle, représentatif de «la liberté d’explorer de nouveaux territoires que le succès d’Harry» lui a conféré. Ce livre-là sera donc «très différent d’Harry Potter».C’est aussi ce que laisse entendre l’éditeur Neil Denny qui parle de ce roman noir de 480 pages dans les termes suivants: «Ce livre n’est clairement pas un polar traditionnel, il sonne original, il sonne intéressant et ambitieux. C’est un créneau peu exploité et vide, que peut-être, elle seule peut combler.»Un roman noir des temps modernes?Le roman raconte «les lois terribles d’une petite ville» nommée Pagford qui, à première vue, semble être idéale. A première vue seulement, puisque l’histoire commence par la mort inattendue de Barry Fairweather, un fidèle du conseil de la paroisse, qui meurt dans la fleur de l’âge (40 ans). La course aux élections pour occuper sa «place à prendre» va faire la part belle aux «passions, aux duplicités et aux révélations inattendues». Les belles vitrines de Pagford cachent une ville déchirée par des luttes internes pour remplacer Fairweather. C’est la «guerre», rien de moins, explique l’éditeur: «les adolescents (sont) en guerre avec leur parents, les femmes en guerre contre leurs maris, les professeurs en guerre contre leurs élèves.»Une expérience effrayanteN. Denny juge encore que troquer la littérature jeunesse pour la littérature adulte où on ne l’attend pas est un «geste intéressant». Il semble surtout espérer que ce roman saura séduire le public de l’auteur, qui l’a aidée à amasser une fortune de 625 millions d'euros (selon la liste établie en 2011 par le «Sunday Times») grâce aux quelque 400 millions d'exemplaires d’«Harry Potter» vendus et aux 8 films qui en ont été tirés.Bien que ce changement de genre soit une expérience effrayante il dit avoir confiance dans le nom «si puissant» de J.K Rowling, et estime que les ventes d’«Une place à prendre» devraient dépasser le million d’exemplaires rien qu’au Royaume-Uni. On suppose qu’il croise les doigts en chantant très fort: «God save Rowling».Un mauvais «remake» d’«Harry Potter»?En attendant, le roman que personne ou presque n'a lu fait déjà l’objet d’une parodie particulièrement acide, sur le site du «Guardian», signée John Race. Ca commence comme ça:«Garry Patter camoufla avec de la crème anti-cerne la cicatrice sur son front et mit ses lentilles de contact. C’était son rituel matinal depuis qu’il avait changé son nom et emménagé à Pagford, quinze ans plus tôt, afin d’échapper à ses fans après ses aventures d’Hogwart. Au début, il avait vraiment profité des bienfaits de l’anonymat; il avait plus d’argent qu’il n’aurait jamais pu en dépenser après avoir transféré tous ses actifs gagnés à Gringotts sur un compte off-shore aux intérêts très élevés et ne s’était jamais lassé de regarder à la télévision ‘‘the Jeremy Kyle show’’».