Je débute sur ce forum dont la plupart des posts concernent avis et critiques de roman de fantasy.Pour faire avancer les débats, je propose l'analyse suivante : le marché des romans de fantasy ressemble de plus en plus au marché du manga.En effet, on pourrait retrouver trois grandes catégories de roman de fantasy, les shonen / romans pour adolescents masculins (grosso modo les romans de high fantasy, récits d'action et d'aventure qui tirent leur matière voire même leur cahier des charges du Seigneur des Anneaux), les shojo / romans pour adolescentes féminines (grosso modo les romans à Robin Hobb, où les sentimenes prenent le pas sur l'action (ex: les romans de Sarah Ash, de Sarah Douglas...)) et les seinen / romans pour post-adolescent (récits plus adultes, plus fouillés, plus approfondis... (ex: Glen Cook, Paul Kearney, Greg Keyes...)). Quelque part, il est ainsi difficile de critiquer un roman appartenant à l'une de ces catégories en l'attaquant sur les éléments qui font qu'il répond aux attentes du public ciblé :- un lecteur masculin ne ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public féminin en le taxant de sentimentalisme !- une lectrice féminine ne peut pas critiquer sérieusement à un roman conçu pour un public masculin en en le taxant de manque de profondeur psychologique !- un lecteur expérimenté ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public adolescent en le taxant de récit simpliste et stéréotypé...Je me suis fait cette réflexion en lisant "l'assassin royal". Je m'étais beaucoup ennuyé en lisant ce cycle culte, pourtant je n'arrivais pas à trouver les défauts des romans : qualité d'écriture, récits soignés et élaborés, personnages riches et cohérents, maîtrise des événements, univers intéressant... C'était tout simplement parce qu'ils ne correspondaient pas à ce que j'attendais d'un bon roman, parce qu'ils correspondaient aux attentes d'un autre type de lecteur !Pour que pensez-vous de cette catégorisation des romans de fantaisie ? Selon vous quels auteurs appartiennent à quelles catégories ?Moi, je verrais bien David Gemmell à la frontière du shonen et du seinen (il balancerait dune catégorie à l'autre en fonction de ses romans), et je verrais bien Guy Kavriel Kay entre shojo et seinen... 1
Bonjour à tous les Elbakiniens.
Je débute sur ce forum dont la plupart des posts concernent avis et critiques de roman de fantasy.Pour faire avancer les débats, je propose l'analyse suivante : le marché des romans de fantasy ressemble de plus en plus au marché du manga.En effet, on pourrait retrouver trois grandes catégories de roman de fantasy, les shonen / romans pour adolescents masculins (grosso modo les romans de high fantasy, récits d'action et d'aventure qui tirent leur matière voire même leur cahier des charges du Seigneur des Anneaux), les shojo / romans pour adolescentes féminines (grosso modo les romans à Robin Hobb, où les sentimenes prenent le pas sur l'action (ex: les romans de Sarah Ash, de Sarah Douglas...)) et les seinen / romans pour post-adolescent (récits plus adultes, plus fouillés, plus approfondis... (ex: Glen Cook, Paul Kearney, Greg Keyes...)). Quelque part, il est ainsi difficile de critiquer un roman appartenant à l'une de ces catégories en l'attaquant sur les éléments qui font qu'il répond aux attentes du public ciblé :- un lecteur masculin ne ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public féminin en le taxant de sentimentalisme !- une lectrice féminine ne peut pas critiquer sérieusement à un roman conçu pour un public masculin en en le taxant de manque de profondeur psychologique !- un lecteur expérimenté ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public adolescent en le taxant de récit simpliste et stéréotypé...Je me suis fait cette réflexion en lisant "l'assassin royal". Je m'étais beaucoup ennuyé en lisant ce cycle culte, pourtant je n'arrivais pas à trouver les défauts des romans : qualité d'écriture, récits soignés et élaborés, personnages riches et cohérents, maîtrise des événements, univers intéressant... C'était tout simplement parce qu'ils ne correspondaient pas à ce que j'attendais d'un bon roman, parce qu'ils correspondaient aux attentes d'un autre type de lecteur !Pour que pensez-vous de cette catégorisation des romans de fantaisie ? Selon vous quels auteurs appartiennent à quelles catégories ?Moi, je verrais bien David Gemmell à la frontière du shonen et du seinen (il balancerait dune catégorie à l'autre en fonction de ses romans), et je verrais bien Guy Kavriel Kay entre shojo et seinen... 
Je débute sur ce forum dont la plupart des posts concernent avis et critiques de roman de fantasy.Pour faire avancer les débats, je propose l'analyse suivante : le marché des romans de fantasy ressemble de plus en plus au marché du manga.En effet, on pourrait retrouver trois grandes catégories de roman de fantasy, les shonen / romans pour adolescents masculins (grosso modo les romans de high fantasy, récits d'action et d'aventure qui tirent leur matière voire même leur cahier des charges du Seigneur des Anneaux), les shojo / romans pour adolescentes féminines (grosso modo les romans à Robin Hobb, où les sentimenes prenent le pas sur l'action (ex: les romans de Sarah Ash, de Sarah Douglas...)) et les seinen / romans pour post-adolescent (récits plus adultes, plus fouillés, plus approfondis... (ex: Glen Cook, Paul Kearney, Greg Keyes...)). Quelque part, il est ainsi difficile de critiquer un roman appartenant à l'une de ces catégories en l'attaquant sur les éléments qui font qu'il répond aux attentes du public ciblé :- un lecteur masculin ne ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public féminin en le taxant de sentimentalisme !- une lectrice féminine ne peut pas critiquer sérieusement à un roman conçu pour un public masculin en en le taxant de manque de profondeur psychologique !- un lecteur expérimenté ne pas critiquer sérieusement un roman conçu pour un public adolescent en le taxant de récit simpliste et stéréotypé...Je me suis fait cette réflexion en lisant "l'assassin royal". Je m'étais beaucoup ennuyé en lisant ce cycle culte, pourtant je n'arrivais pas à trouver les défauts des romans : qualité d'écriture, récits soignés et élaborés, personnages riches et cohérents, maîtrise des événements, univers intéressant... C'était tout simplement parce qu'ils ne correspondaient pas à ce que j'attendais d'un bon roman, parce qu'ils correspondaient aux attentes d'un autre type de lecteur !Pour que pensez-vous de cette catégorisation des romans de fantaisie ? Selon vous quels auteurs appartiennent à quelles catégories ?Moi, je verrais bien David Gemmell à la frontière du shonen et du seinen (il balancerait dune catégorie à l'autre en fonction de ses romans), et je verrais bien Guy Kavriel Kay entre shojo et seinen...