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Demandez du bizarre, demandez de l'étrange ! Critique par Gillossen
:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/bd/cycle/cerebus-946

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Après une rapide recherche, pas de trace d'intégrale !:unsure:Par contre, évidemment, les volumes paperback VO valent 20 dollars...De par la nature même du personnage déjà, oui, ça "s'intègre" bien au genre fantasy. Après, pour la note, j'ai mis 8/10, mais je comprendrai qu'on adore au point de mettre 10 ou que l'on déteste avec un 3.
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Il faut voir que l'auteur a produit 20 pages par semaine pendant plus de 20 ans sans aucune interruption je crois. :oCerebus et son univers forment définitivement un univers à part dans le paysage BD. Dans le premier tome, le design de Cerebus,c 'était ça :
On peut comprendre que l'éditeur commence par le tome 2...Même si la couv est classe. 
Cerebus, c'est un univers énorme, qu'on découvre petit à petit.



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Vivement, là encore. 



Après avoir goûté l’ivresse du pouvoir politique, Cerebus, toujours aussi cupide et cruel, va savourer une autre forme de toutepuissance : il devient Pape ! Désormais audessus de toute autorité, et échappant à tout contrôle, Cerebus s’emploie à faire régner la terreur, jusqu’à ce que… Voilà que la carrière de Pape de son antihéros donne ici à Dave Sim l’occasion de poursuivre la délirante histoire de Cerebus – et d’y inscrire ses gags les plus mémorables et les plus monstrueux, comme une intéressante vision de la papauté et de ses privilèges. Par ailleurs, il continue d’entourer Cerebus de personnages plus réjouissants les uns que les autres, parmi lesquelles son épouse (eh oui !), la voluptueuse Red Sophia, qui lui vaudra également une ignoble belle-mère… En bref, la carrière mouvementée de Cerebus continue tambour battant, pour notre plus grand plaisir. Moins dense que High Society, cet opus n’en reste pas moins écrit, et toujours irrésistiblement drôle. Le dessin est de plus en plus somptueux et virtuose. Si les influences sont toujours sensibles (Neal Adams, Will Eisner), le style de Sim s’est ici apuré et il a décidement trouvé ses marques. En outre, Sim s’associe ici avec Gerhard, le dessinateur à qui l’on devait déjà le remarquable hôtel Regency en couverture de High Society et qui désormais va se charger des décors. De l’avis des connaisseurs, c’est avec ce premier volume de L’Église et l’État que Dave Sim trouve le rythme de croisière de sa saga. En effet, de rebondissements en coups de théâtre, ce deuxième volet s’avère absolument captivant.
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Bonjour,j'ai eu ça, suite à un cadeau bien intentionné...c'est une expérience de lecture à part entière, une influence majeure de Bone et un contemporain de Sandman... qui a même visité Spawn dans sa première année de parution.Pas grand chose à ajouter à la critique de Gillo, si ce n'est un regret sur le format, juste un peu petit vu l'ampleur des monologues a lire... mon âge commence peut-être à se faire sentir, mais j'ai plusieurs fois envisagé d'attendre le jour pour prolonger ma lecture, la lampe de chevet n'y suffisant plus !