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Cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyé pendant un film au cinéma. Cela doit dater de "Roméo+Julliet". Et même la terrible scène flipppante du film m'a laissé froid.Je n'ai pas retenu grand chose si ce n'est que sur le même thème, il y a "28 jours plus tard" et que ce film est bequcoup plus passionnant et réussi.L'unique chose positive est aue cela m'a donné envie de replonger dans le roman de Matheson et que je l'ai presque fini. Là par contre, le chef d'oeuvre est total.Ashes

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Perso je suis allé voir le film hier soir et je l'ai trouvé pas mal. Pas le film de l'année, pas non plus le navet du siècle, mais un film "sympa".Sauf les 5 dernières minutes... autant le reste est agréable et parfois rigolo... autant la fin est navrante : le final tombe encore une fois dans cet espèce de puratinisme américain.Ma conclusion est que le film m'a donné envie de lire le livre, et je vais donc aller dès ce soir chez mon libraire-préféré !

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Le film m'a aussi donné envie de lire le livre, c'est déjà une bonne chose.J'ai vraiment aimer la première partie, beaucoup moins la deuxième,
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Bon bah j'ai été le voir aussi et même chose, la première grosse moitié du film passe très bien, Will Smith, hormis quelques maladresses, porte le film, son Neville version an 2000 est pas mal du tout, plusieurs scènes sont émouvantes, intenses aussi (cette scène flippante). Les ingrédients sont là, pas besoin de plus si ce n'est d'une conclusion intrigante.Et puis badaboum, on nous balance une croix, un dieu et un drapeau américain pour que le film s'écroule dans la stupidité... ou facilité de tous les "films catastrophes". Et ce n'est pas la première fois qu'on prend Will Smith à ce jeu, c'est bien dommage pour lui...

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Pour un film de major, je trouve qu'il n'y a pas tant de concession que ça sur la forme : on a droit à de longues scènes sans musique pompeuse ou jouant sur la corde sensible, on sent le personnage de Neville vraiment destabilisé par la solitude,
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... A côté de ça, quelle fin ! :( Je me suis cru dans Signes, sauf que dans le film de MNS, j'avais trouvé ça réussi... Dommage. A côté de ça, sur un plan réaliste, il me semble que le métro et une partie des rues de New York sera inondé en 3 jours sans entretien, alors, en trois ans... Ca aurait pu rendre le dépaysement encore plus spectaculaire.

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La fin est relou.Mais fallait pas non plus s'attendre à " The Pledge" hein ;)Sinon les zombies SONT en images de synthèse.Ca se voit à 4 kilomètres. C'est pas un fusil que Will smith aurait du utiliser pour les dégommer , c'est une Wiimote. ( à utiliser avec la sangle de sécurité bien sûr).

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Et pourquoi ils se tapent la tête comme ça tout le temps ? Ils n'ont pas compris que pour évoluer ils ont besoin de neurones ??Peut être parce que les gars des SFX ont "inventé" le truc et l'ont balancé cent fois...De toute façon c'est carrément plus flippant quand ya pas les zombies.

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Je viens de lire le bouquin ^^
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La fin du film crache tout de même à la gueule de celle du bouquin ! C'est un contrepied total pour un long métrage qui se présente comme une "adaptation". Et si l'adaptation implique des changements, il y a tout de même des limites. :| Le changement de profession de Robert Neville est moins gênant, car de ce côté-là, il faut bien avouer que Matheson ne s'était pas beaucoup embêté, mais le sujet du roman n'est pas là. Cela dit, je ne vois pas en quoi la fin du roman est tirée par les cheveux. :)Au passage, sur l'excellent blog du non moins excellent Rafik Djoumi, voilà la fin à laquelle on aurait dû avoir droit dans le film, si monsieur Akiva "Batman & Robin" Goldsman ne s'en était pas mêlé ! :rolleyes:http://rafik.blog.toutlecine.com/1499/J ... e-legende/

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et oui, le Neville du livre n'est pas politiquement correct à la différence de celui du film, il soigne son mental à la bouteille, il n'a pas de but précis mis à part survivre et errer le jour en faisant sa sale besogne... c'est pour ça que j'y crois bien plus... pour ce qui est du traitement du chien dans le film, autant que la fin, c'est une trahison complète du livre, "je suis une légende" de Matheson est un bouquin profondément nihiliste, c'est pas un Disney :rolleyes:
complètement neuneu et tiré par les cheveux côté scénario.
on a pas dû lire le même livre :huh: où c'est neuneu ?

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Oui, il soigne son mental à la bouteille, mais il décroche ensuite presque trop facilement...Admettons...Quant au toutou, celui du film est amené comme un élément important dans l'équilibre affectif de Neville, celui du livre n'est presque pas assez exploité -
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Tiens, à propos, un point pour le livre : New York sauvage c'est bien joli, mais bichettes et lions n'éliraient certainement pas domicile dans un coin aussi dangereux la nuit...la campagne, c'est peinard : les zompires ne peuvent pas se planquer le jour, alors pchhhit... Donc logiquement ya que les zoziaux qui peuvent fréquanter la ville, comme dans le livre...

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Mon Dieu, je viens de lire la fin du script publié sur ce blog, c'est épouvantable!! Heureusement qu'on a échappé à ça, c'est d'un sirupeux....
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Le film tel qu'il a été fait aurait plutôt pu s'appeler he is Legend que I am Legend, par contre.

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Amakusa ton interprétation au sujet du livre passe je pense à coté d'un point crucial :
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pour revenir au chien, celui du livre est exploité à sa juste valeur, seulement pour laissez Neville au fond du trou... le film en a fait un personnage à l'épaisseur presque humaine, Neville n'est plus seul dans le film

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Oui, en effet, c'est un aspect important du livre, pourant, je trouve que Matheson aurait pu aller un peu plus loin et laisser un peu moins de "hop-là" pour que la mayonnaise prenne mieux. Effectivement , l'aveuglement de Neville est à la fois adopté et critiqué par l'auteur d'une façon très subtile!
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Pour le chien, je trouve que les 2 façons se justifient, la première, tout à fait comme tu l'as dit et dans le film, c'est quand même pas pareil du tout qu'au autre humain : le chien ne parle pas, ne raisonne pas, ne peut pas aider Neville dans ses recherches et ne peut guère prétendre survivre en ville sans son maître : certes, cela fait une compagnie à Neville (ce qu'il souhaite aussi dans le livre au sujet du chien) mais rien à voir avec un humain
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